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  herbv
| Shûichi et Claire ont compris à quel point la recherche d'informations sur ce qu'est devenue Erena serait compliquée et risquée à cause d'une quête de médailles permettant d'obtenir des pouvoirs. De plus l'opération a provoqué l’apparition de monstres extrêmement dangereux. Ils ont donc rejoint un groupe de lycéens peu puissants. Quoique... Une fille de ce groupe, alors qu'elle ne paye pas de mine entre sa jeunesse et son pouvoir a priori inutile, pourrait bien être un atout majeur dans les prochaines confrontations avec les chasseurs de médailles et dans la recherche du lien oublié entre Shûichi et Erena.
Le cinquième tome de Gleipnir est dans la continuité des précédents, c'est-à-dire un mélange réussi entre phases de combat et d'action, monstres horribles et scènes de morts violentes, le tout soupoudré de fréquents moments de fan service, les protagonistes filles ayant tendance à se déshabiller plus ou moins complètement, par exemple pour visiter Suichi-Mascotte.
Nous avons donc là un titre tout à fait représentatif de ce que l'on appelle le young seinen : un thème très shonen manga, avec une quête initiatique (ici, sauver le monde) qui incombe à un jeune garçon (un lycéen et non pas un collégien), des pouvoirs à découvrir et à maîtriser, et un groupe lui permettant d'arriver à ses fins. Par contre, un monde beaucoup plus sombre et réaliste, des personnages plus âgés et plus sexuels (surtout les filles) sont adressés à un public un peu plus âgé. Si le résultat est rarement intéressant à moins d'être fan de mangas relevant du genre, Gleipnir fait ici exception. |
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