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| Fontainebleau, la maison de sang |
Lors d’une randonnée dans la forêt de Fontainebleau, Franck et Bénédicte, un jeune couple fatigué de la vie parisienne, découvrent dans une clairière un énorme corps de ferme en ruine.
La bâtisse possède un mystère envoûtant, et malgré les mises en garde des autochtones, la maison serait hantée, ils décident d’en devenir les propriétaires.Tous ceux qui y ont habité ont connu une mort violente ou sont devenus fous à lier.
Mais Franck, cartésien de nature et ayant les pieds sur terre, ne croît pas à toutes ces superstitions locales.
Pourtant, au fur et à mesure de la restauration de la bâtisse, d’étranges évènements vont s’enchaîner et la vie du jeune couple va peu à peu basculer dans l’horreur. |
  rohagus
| Une histoire de maison hantée banale dont j'ai eu l'impression qu'elle se terminait avant même d'avoir commencé.
Nous trouvons ici le schéma classique d'un jeune couple qui déménage dans une vieille maison qu'ils viennent d'acheter. Pourtant "on" les a bien prévenus avant de faire leur achat : "oubliez cette maison", "elle est maudite", "elle est hantée". Ah mais non, nos deux tourtereaux parisiens ne croient pas à ces sornettes. Tant pis pour eux, on leur avait bien dit...
Pfff... Déjà vu...
Alors je m'attendais à un déroulement un peu plus original par la suite, une hantise particulière ou quelque chose de marquant. Mais non. Quelques signes annonciateurs, deux ou trois évènements surprenants, deux furtives apparitions cauchemardesques, une crypte maléfique découverte en sous-sol et hop en quelques pages, les deux héros chutent brutalement, mort et folie. Trop brusque, l'ambiance n'a aucunement su s'imprimer pour moi et je n'ai tout simplement pas "cru" du tout à la fin.
Quant au dessin, il ne me plait guère non plus. Trop réaliste à mon goût, il présente parfois des couleurs assez bizarres, notamment sur des décors nocturnes. Et j'ai eu plusieurs fois l'impression que les personnages étaient trop figés, dans des poses pas naturelles.
Une lecture qui n'a pas su me divertir ni m'intéresser. |
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