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  Cellophane
| Bon… Y’a les deux aspects : l’histoire et le dessin.
Pour le dessin. J’ai été subjugué. J’ai adoré ces traits vifs, mélange de dégingandé et d’énergie. Les couleurs fonctionnent super bien avec les différents paysages. Il y a de belles invention et variété visuelles qui nous permettent pleinement de nous échapper.
Pour l’histoire… Déjà, je n’aime pas les histoires d’amnésiques qui retrouvent lentement la mémoire. On a toujours des petites bribes éparses du passé qui remontent ; c’est long, c’est passif. Du coup, là, je n’ai pas super adhéré.
En plus, il y a des règles pour le moins obscures, inexpliquées autant qu'inexplicables, qui m’ont un peu perdu.
Par exemple, il y a les errances ressemblant à des rêves. Je n’accroche pas non plus à l’idée parce que dans ce cas, on peut mettre encore et toujours n’importe quoi, il est dans un hôtel puis dans la rue puis dans un supermarché avec des vigiles tortionnaires puis sur la plage puis… Bref, pas besoin de logique ou de justification, on enchaîne n’importe quoi, ça roule…
Ben du coup, ça n’a pas roulé pour moi, et ce jusqu’à la fin qui m’est passée totalement au-dessus : je n'ai pas plus compris les motivations et buts finaux que les raisons de l’ange à lui faire recouvrer la mémoire…
C’est beau mais c’est soit creux, soit hermétique pour moi… |
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