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| Dans un désert post-technologique, la chasse est ouverte contre les autoreivs contaminés par le Cogito, un virus informatique qui éveille en eux la capacité de ressentir des émotions et des sentiments. L’une d’entre elle, Dorothy de Garande, décide d’accompagner Leone Apple, un astronome qui utilise du matériel de pointe pour observer les étoiles dans un ciel constamment voilé.
Mais leur voyage va les confronter à la violence constante d’un monde où les humains craignent plus que tout la concurrence des machines. |
  herbv
| Dans un futur post apocalyptique, le monde, devenu quasi désertique, n’est plus que violence en dehors de quelques villes-bulles où les habitants vivent en autarcie. Les robots, plus ou moins androïdes et appelés autorevs, sont communs mais peuvent être atteints d’un virus appelé Cogito qui a pour effet de leur donner des sentiments. Nous faisons la connaissance de Dorothy de Garance, "l’infirmière nomade" contaminée, ce qui lui fait acquérir la compassion sans perdre son efficacité. Suite à sa rencontre avec Léone Apple, un astronome auto déclaré, elle part l’accompagner dans la recherche du poste d’observation idéal. En effet, elle croit, à cause de son créateur, que lorsque les hommes meurent, ils se transforment en étoile. C’est ainsi que commence une aventure pleine de merveilles mais aussi de dangers. Heureusement pour nos deux protagonistes, ils vont recevoir du renfort, ce qui va améliorer leurs chances de survie dans un univers ultra violent.
Centzon Hitchers and Undertaker est un produit dérivé de la série d’animation Ergo Proxy qui compte deux volumes. Étrangement, l’animé est édité en français par Dybex et non pas par Kaze, le propriétaire d’Asuka. Évidemment, il ne faut pas attendre grand-chose de cette courte série dérivée, ce qui permet d’avoir une bonne surprise. La multiplicité des scénaristes, un par chapitre et qui ont participé à l’animé, ainsi que le dessin limité de Yumiko Harao que l’on connaît ici grâce à Advent publié chez Soleil Manga ne nuisent pas aux qualités de divertissement de l’œuvre. On se laisse rapidement emporter par les péripéties de l’histoire et par la candeur, la fraîcheur de Dorothy grâce à une belle dose de bonne humeur malgré le fait qu’elle évolue dans un monde cruel qui cherche à la détruire. Voilà une lecture plaisante qui donne envie de connaître la fin du périple des trois personnages principaux. L’attente devrait prendre fin courant mars 2009. |
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