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  herbv
| Caïman a un petit souci de mémoire. Il n’arrive même pas à reconnaître Prof. Kasukabe. Il faut dire que notre « reptile » favori a ressuscité grâce à la tête qu’il avait perdue au début de la série, lors d’un combat à mort contre Shin dans le deuxième tome. Il est donc normal qu’il ne se souvienne pas de tous les événements et de toutes les rencontres qui ont suivi. Par contre, il voit bien que son amie Nikaido est en difficulté face à un type balèze, une sorte de croisement entre le Boss des yeux en croix et un diable. Il commande aux tubes étranges et maléfiques qui parsèment ce qui reste du Grand Magasin Central. Et ça, Caïman ne va pas le tolérer !
En fait, les fans de la série ont leur second tome annuel alors qu’un seul avait été annoncé pour 2016 en 2015. Pour le coup, l’édition japonaise est vraiment rattrapée, le volume 21 venant de sortir au pays du Soleil levant il y a quelques semaines. C’est maintenant certain, il faudra attendre un an pour avoir la suite dans nos contrées francophones ! La suite, pas la fin, car comme on le soupçonnait il y a un an, on ne va pas pouvoir lire la conclusion avant plusieurs années. En effet, Q-Hayashida, l’auteure, continue gaillardement à rallonger la sauce dans Hibana, le magazine de prépublication. Ce qui signifie au moins 23 tomes, plus si affinités...
Ce que nous avons appris dans le 20e volume :
– 1 – Que l’histoire continue à trainer en longueur « grâce » à des rebondissements évitables ;
– 2 – Que l’auteure sait vraiment où et comment son histoire doit se finir ;
– 3 – Que les révélations sur la nature profonde de Caïman et de ses avatars continuent donc à nous être distillées au fil des chapitres ;
– 4 – Que Kaas n’est pas si puissant que cela, et qu’il n’arrive pas à sauver Nikaido ;
– 5 – Que les lecteurs ont le droit à de nombreuses pages avec notre héroïne totalement nue ;
– 6 – Qu’Ebisu est jalouse de la taille des seins de Nikaido, ce qui débouche sur un cliffanger des plus efficaces ! |
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