|
| |
|
|
|
|
  herbv
| Le désordre et la folie continuent leur course dans le Grand Magasin Central. Mais dorénavant, ce dernier est quasi désert, ce qui le rend encore plus inquiétant : le danger reste présent même si le calme est revenu ; ces étranges tuyaux si agressifs ne semblent plus devoir agir. Nikaïdo est séparée de ses compagnons, mais elle a réussi à retrouver une ancienne connaissance. Cependant, peut-elle lui faire confiance ? De leur côté, les diables, menés par Chiramuda, sont pratiquement arrivés à destination, quelle qu’elle soit. Enfin, Ebisu progresse toujours avec le cadavre d’En. Elle ne devrait plus tarder à retrouver ses anciens collègues mages, du moins les survivants, même s’ils sont réduits à l’état de tête vivante par un Shin qui semble avoir perdu son esprit.
Le tome 19 de Dorohedoro donne un grand nombre d’informations quant au déroulé futur de l’histoire. C’est bien normal : après tout, la magie de Nikaïdo est de nature temporelle. Il n’est pas difficile de deviner qui sont ces étranges diables qui interviennent dans le cours des événements. Par contre, on ne peut s’empêcher de regretter que Q.Hayashida, l’auteure, prennent autant de pages pour nous informer de leur identité passée. Et ce n’est pas le retour de certains personnages, pourtant bel et bien morts, qui peut laisser espérer une accélération du récit. Et ce, d’autant plus que la fin du titre n’est toujours pas annoncée au Japon. Heureusement, le dessin si personnel de la mangaka, sa narration qui sait rester nerveuse, aident à faire passer une pilule qui est de plus en plus amère. |
|
|
|
|
|
| |
| |