Nous voilà en présence d'un monde « tolkienesque » sans surprise heureusement mis à mal, presque malgré eux, par deux chiens qui semblent préfigurer ceux de Clérambard.
Un peu pépère, tout ça. Trondheim et Sfar, en techniciens du spectacle routiniers, posent les décor et esquissent les caractères. Panaccione, qui s’y entend en chiens sympathiques (Toby mon ami), déroule assez paresseusement son art.
Je suis content de retrouver de vieux amis mais je ne suis pas sûr d’y rester fidèle.