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| Les membres du club judiciaire de Saint Mehabiah sont tous plus singuliers les uns que les autres… et ils espèrent bien développer leurs activités avec l’arrivée de Setsu. C’est alors qu’une affaire d’agression quelque peu particulière va mettre en difficulté Nanao et ses amis, pourtant capables de résoudre les histoires sentimentales les plus compliquées… |
  herbv
| Le dernier volume de Diamond Head débute par un drame qui va aller jusqu’à mettre en péril l’existence même du Club Judiciaire alors que le groupe le composant avait réussi à acquérir une légitimité certaine auprès du lycée, y compris du corps professoral, Raïka devenant même une personne d’importance devant qui tout le monde s’écarte. Dès le premier chapitre, les membres du club devenu le plus populaire de l’établissement sont donc confrontés à une crise sans précédent. Réussiront-ils à la surmonter alors que la fin de l’année scolaire approche à grande vitesse ? La tradition du Club Judiciaire ne risque-t-elle pas de s’interrompre à tout jamais, surtout quand les médias s’en mêlent ?
Dans une tonalité proche de Diamond Head 4, les trois derniers chapitres de l’histoire de Nanao, Raïka, Setsu, Katsuma et Kirihiko au sein de l’école privée Saint Mehabiah ne sont pas sans rappeler la noirceur de la courte série X-Day. Les débuts légers et humoristiques du manga sont définitivement oubliés au profit de questionnements existentiels, notamment sur ce qui peut faire agir de façon plus ou moins excessives les adolescents. Le thème de la fin de l’innocence est, comme dans nombre de shôjo, devenu central, le passage à un comportement responsable, adulte, est alors le but à atteindre. C’est ainsi qu’une fois tournée la dernière page, on comprend mieux l’importance qu’a pu avoir ce titre dans la carrière de l’auteure, l’évolution incroyable de l’histoire la faisant déboucher sur ses futures réussites. |
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