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| José Maria Hermosillo de los Santos préfère tenter le banco au poker que végéter dans des petits boulots. La chance, hélas, ne lui sourit guère. Son tempérament de bluffeur le pousse alors à publier cette petite annonce: Dexter London, aventurier, accepte toutes les missions, même les impossibles...
Une réponse lui parvient d’une riche lady dont le fils, Adinsell, part pour une lointaine contrée: "Dexter" sera payé à prix d’or pour veiller sur lui. Ils ne sont bien sûr pas les seuls à embarquer dans le même avion. A bord, se trouvent aussi la belle et célèbre paléontologue Sydney McCoy et sa secrétaire, la troublante Amanda Preston. S’y trouve également le très mystérieux héritier d’un potentat oriental.
A la première escale, l’appareil est investi par des hommes en armes qui ont pour mission de s’emparer du prince. Mais, celui-ci s’est inexplicablement volatilisé!
"Dexter", Adinsell, Sydney et Amanda obtiennent l’autorisation de poursuivre ensemble, le voyage par la route. Au bout d’un trajet parsemé d’embûches, ils sont rejoints et retenus par le commando... Le quatuor aurait-il réussi à dissimuler le prince dans ses bagages?
Dexter London serait-il pris au piège de plus bluffeurs que lui? Le début d’une folle aventure exotique riche en rebondissements surprenants et péripéties amusantes. Premier album d’une nouvelle série conçue par l’auteur de Betelgeuse et mise en images par le dessinateur de Géographie Martienne. |
  CoeurDePat
| Contrairement à pas mal des posteurs précédents, si j'ai lu cet album c'est bien pour Sergio Garcia et non à cause de Léo. Ce style de dessin, certes très particulier, me plaît plutôt pas mal, surtout après avoir lu l'excellent "Les trois chemins".
Le début de l'histoire est raconté à la façon d'un roman 19ème, à la première personne, José Maria Hermosillo de los Santos alias Dexter London étant bien sûr le narrateur. Ce personnage me plaît bien. Il a tout ou presque d'un raté, est incapable de sortir de sa situation, mais reste suffisamment lucide pour constater l'étendue de cette incapacité.
L'ambiance générale est un peu étrange, avec ce monde qui ressemble par certains côtés au nôtre pendant la première moitié de ce siècle, mais avec de notables fantaisies. Steampunk ? Je ne sais pas, mais ça y ressemble bien.
Là où mon intérêt à commencer à baisser un peu, c'est avec l'apparition du prince. La narration change presque du tout au tout : Dexter London n'est plus narrateur, tout est vu de l'extérieur, et on se retrouve dans une phase d'aventures pas désagréable, mais pas non plus fascinante.
A la fin de ce tome l'impression qui subsiste, c'est que le héros se laisse emporter dans un enchaînement d'aventures. La ligne directrice du scénario paraît donc plutôt faible... mais j'imagine que Léo ne va pas décevoir ses lecteurs et j'attends de lire le deuxième tome, sans impatience, mais avec intérêt. |
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