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| Cyberpunk 2077 - Tu as ma parole |
Ainsi commence le chaos : entre prothèses cybernétiques, méga-corporations, chasse à l’homme, secrets et trahisons, les destins de personnes terriblement dangereuses se retrouvent inextricablement liés…
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  rohagus
| Sans aucun doute le meilleur des trois albums de la licence Cyberpunk 2077 que j'ai lus jusqu'à présent ; sa fin en demi-teinte m'empêche toutefois de mettre une meilleure note.
Il s'agit d'une histoire complexe et dense qui donne l'impression d'être bien plus longue que celle des autres albums Cyberpunk 2077 alors qu'ils comprennent le même nombre de pages. Elle se paie même le luxe de faire apparaitre quelques lieux et personnages rencontrés dans le jeu vidéo.
Cela commence par l'embauche d'un petit groupe de mercenaires pour une mission donnée par un chef des Valentinos. Mais ce n'est que l'entame d'une histoire plus dramatique qui amènera un autre personnage à revenir à Night City pour régler dans le sang des comptes depuis longtemps oubliés. Une histoire de sang, de famille et de trahison.
Graphiquement, c'est du boulot correct. Les personnages sont réussis, les décors plus basiques mais ils tiennent la route, les couleurs sont « cyberpunk » à souhait, et la mise en scène est très bonne.
L'histoire m'a beaucoup plu par sa densité. On passe des Badlands au cœur de la ville, d'histoires de gangs, de corpos et de solos, à des histoires de famille, et des souvenirs des années 2040 au monde encore plus pourri de 2077. Il y a pas mal de dialogues et ils fonctionnent bien, ainsi que quelques retournements de situation inattendus. Et il y a tout ce mystère autour des motivations de l'héroïne et de ce qui a causé tout cela, qui tient autant le lecteur en haleine que son parcours implacable et sanglant.
Dommage du coup que la révélation finale soit un peu bancale puisque son explication des comportements de deux principaux protagonistes, le moteur même de l'intrigue, peine à convaincre. Dommage aussi que la fin soit un peu trop amère, comme s'il fallait forcément rappeler que rien ne finit jamais bien à Night City. |
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