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| Cobra doit lutter contre Black Bone, un Pirate de l'Espace, pour récupérer la clef qui doit sauver l'Univers !
Parviendra-t-il à déjouer les plans machiavéliques du faux professeur Toporo ?
Cobra trouvera-t-il la clef du bonheur ?
Dans ce tome découvrez aussi une autre aventure Le Grand Roi du mal de L'Espace.
Galtan (le grand roi du mal) est un véritable génie gigantesque qui désire faire de Cobra son vassal. Ce dernier ne l’entend pas de cette oreille et finira par trouver le point faible de Galtan ; une fiole qui le gardera prisonnier pour l’éternité. |
  herbv
| Chose assez rare, Cobra vient de rencontrer plus fort que lui : un génie malfaisant et maître d’une magie plusieurs fois millénaire l’a capturé sans réelle difficulté pour faire de lui son vassal, de grès ou de force. En effet, l’homme au psychogun a osé s’interposer alors que celui qui se fait appeler Galtan le grand roi maléfique venait récupérer son esclave échappée, une jolie fille nommée Anita. Quand on est pratiquement impuissant face à la puissance de son ennemi, s’échapper devient terriblement compliqué. Cependant, quand la force ne suffit pas, il suffit de passer le relais à la ruse.
Le tome 10 de Cobra, The Space Pirate est le plus enthousiasmant depuis celui consacré au rugball, paru fin 2007. Si la première des deux histoires est simplement gentillette, la seconde est d’un tout autre calibre grâce à la présence de plusieurs ingrédients. Sa longueur, 150 pages, permet à Buichi Terasawa, l’auteur, de développer son récit dans trois unités de lieu toutes aussi réussies les unes que les autres. Le dessin en couleur fait merveille et nous propose des scènes de toute beauté, certaines étant dignes d’être des illustrations d’art book. Enfin, l’action est, comme d’habitude, trépidante.
Certes, il ne faut rien attendre de plus qu’un simple moment de distraction, comme d’habitude avec la série. Cependant, on aurait bien tort de s’en priver, d’autant plus que la version française est toute a fait réussie grâce à un superbe rendu des couleurs. On peut éventuellement, pour chipoter, regretter une certaine uniformité dans l’adaptation graphique mais cela ne gâche en rien le plaisir de lecture car nous sommes en présence d’une réussite dans son genre. Si vous n’êtes pas allergiques à l’action virile ou au graphisme informatique, foncez chez votre libraire, vous ne serez pas déçu. |
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