Pour ma part, je dois dire que j'ai bien aimé. Pas pour son histoire qui est très simple (de la volonté affichée de son auteure comme elle l'explique dans l'interview donnée en bonus) mais pour son graphisme si particulier qu'il est devenu tendance au Japon (pas au même point qu'Hello Kitty mais quand même décliné en toute sortes de goodies...). Ensuite, ça nous permet de voir un autre aspect de la production de mangas, c'est toujours intéressant. On a donc un manga très mignon (une sorte de kawaï à la sauce année 70 et parfois sous acide) et différent mais cela vaut-il les 11 euros nécessaires pour son acquisitions ? Seul(e)s les plus fortuné(e)s d'entre nous n'hésiteront pas à participer à l'enrichissement (justifé) de l'éditeur tant cet achat ne me paraît pas indispensable.
Sinon, la mention "pour public averti" me semble être de la "propagande pas vraie" (comme on dit) car ce ne sont pas les quelques poitrines féminines dévoilées qui feront fantasmer les plus fétichistes (ou les plus frustrés) de bubulle, Masakazu Katsura ou Satoshi Urushihara sont bien plus efficaces pour saisir la courbe d'un téton que Junko Mizuno :)
