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  Coacho
| Si le tome 1 de Célestin s’était révélé frais, pétillant, et donc une bonne surprise, l’essai dans ce deuxième tome n’est pas transformé.
Tout ce qui faisait le charme de cette première livrée, la poésie, le sens de la formule, les planches colorées et vivantes, tout cela a disparu.
Les dialogues sont plan-plan, l’intrigue tourne en rond, quelques envolées faciles et des planches qui deviennent plus des esquisses mises en couleurs dans lesquelles le charme captivant n’opère plus.
On finit ce diptyque dans une espèce de farce pas très drôle qui m’a personnellement déçu.
C’est un album moyen en fait, pas à descendre en flèche pour le plaisir !
Mais la barre avait été placée haute et on espérait une suite du même acabit, d’où ce sentiment de déception assez fort.
Il y a quelques fulgurances, comme cette Marseillaiserie mais ça ne suffit pas à sauver le tout à mes yeux de lecteur. Une lecture pas indispensable car n’est pas Ayroles qui veut.
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