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- | [Couverture], Jourdan Mickaël (DC) | - | P2. Le Mal de l'air, [Gag], Dubourg Cléry (SD) | - | P3. [Sommaire] | - | P4. Ghosts of farce, [Récit complet], Louis-Honoré Léo (SD) | - | P9. Le Troc, [Récit complet], Dubourg Cléry (SD) | - | P12. Patoche, [Gag], Louis-Honoré Léo (SD) | - | P13. L'Invasion, [Récit complet], Jourdan Mickaël (SD) | - | P23. Patoche, [Gag], Louis-Honoré Léo (SD) | - | P24. Banana & Poulpo, [Récit complet], Calméjane Théo (SD) | - | P24. Vivement le lycée, [Récit complet], Dubourg Cléry (SD) | - | P30. Patoche, [Gag], Louis-Honoré Léo (SD) | - | P31. Planetor, [Récit complet], Calméjane Théo (SD) | - | P38. Patoche, [Gag], Louis-Honoré Léo (SD) | - | P39. La Sentinelle, [Récit complet], Dubourg Cléry (SD) | - | P42. Patoche, [Gag], Louis-Honoré Léo (SD) | - | P44. Merci Bouboul, [Gag], Jourdan Mickaël (SDC) | D : Dessin S : Scénario C : Couleurs |
  Mael
| « Les Machines » est une petite structure associative angoumoisine réunissant plusieurs étudiants autour d’un achat commun, rêve de tout fanzineux : une photocopieuse. Une photocopieuse et quelques autres outils permettant une totale indépendance en terme d’impression et de façonnage. Ils sont amoureux du livre dans sa plus noble esthétique : peu de moyen, de la photocopie mais propre, avec ce qu’il faut de cheap pour que ce ne soit pas aseptisé. Et le tout est beau.
Beau par l’aspect d’abord, et le choix de ce papier découpé coloré systématique en couverture n’y est pas pour rien. Beau par le dessin, malgré le goût général pour une simplicité graphique anti-esbroufe très bien maîtrisée. Beau enfin par la modestie de l’ensemble qui réussit pourtant à toucher juste, le ton général est entre l’humour absurdo-débile et une certaine tendresse.
Les fondateurs-associés sont également les auteurs récurrents. Quatre d’entre eux sont dans ce numéro : Cléry Dubourg, Léo Louis-Honoré, Mickaël Jourdan et Théo Calméjane. Tous méritent d’être salués, Léo Louis-Honoré particulièrement avec ses planches délirantes dont l’art de l’ellipse est aussi percutant que drôle. Il faut découvrir leur travail, qui prouve si besoin est que le fanzinat n’a jamais perdu sa fonction vivifiante !
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