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| Londres, 1977. La vague punk a déferlé sur la Grande-Bretagne. Les Sex Pistols font scandale avec un brûlot de lèsemajesté, God Save The Queen. Bannis des ondes, ils décident de jouer sur la Tamise lors du jubilé de la reine Elisabeth II. Au même moment, au même endroit, un bateau attirera toutes les convoitises avec, à son bord, une colossale cargaison d'héroïne et le butin de la French Connection...
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  Cellophane
| Ça m’embête de critiquer les dessins : d’une part, je serais bien incapable d’en réussir le dixième. D'autre part, ils sont quand même super bien faits : les voitures, les lieux sont excellents. Mais il y a une sorte de flou, d’ondulation, de vivacité nerveuse sur les visages, les silhouettes, que j’ai eu du mal à apprécier.
Quant à l’histoire, elle est complète mais presque trop, au point que ça en devient complexe…
Alors bien sûr, tout se débrouille à la fin, mais il ne faut surtout pas lâcher l'attention parce que sinon, on se perd assez facilement… D’accord, à la fin, tout est clair ; mais la lecture n’a pas été fluide pour moi, à devoir faire les connections dans ma tête…
Donc la lecture est riche et peut-être parfois un peu embrouillée sur le coup…
Enormément de personnages, de flashbacks, de lieux qui changent toutes les deux pages en moyenne…
Et puis, si c’est certainement très bien fait, je n’ai pas suffisamment de connaissances en Histoire anglaise (ni de passion pour elle) pour avoir apprécié ce cours politico-culturel…
Une lecture intéressante mais dans laquelle je n’ai pas su complétement m’immerger.
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