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| Les EGM (Êtres Génétiquement Modifiés) mènent un combat politique pour que leur existence soit respectée. Un des préalables conditionnant la prise en compte de leurs revendications projettera Carmen dans une mission suicide. D’abord décidée à refuser ce contrat, sa détermination est mise en échec par son talon d’Achille : l’amour qu’elle porte à Russel.
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  Coacho
| Faut bien être fidèle à une série pour continuer d’acheter aveuglément chaque nouveauté…
Qu’en est-il de ce tome 7 ?
Je ne sais pas vraiment… Est-ce le niveau de la série qui baisse ou ne suis-je plus du tout réceptif à une recette éprouvée maintes fois ?
L’histoire se laisse lire mais elle ne réserve pas de surprise agréable, nous livre quelques clichés plutôt moisis (l’embrassade de Carmen et Russel…), les personnages sont à la limite de la caricature, tout cela manque de souffle, d’inspiration…
Duval n’y croit peut-être plus autant ?
Le dessin m’a l’air d’avoir pris une sacrée baffe et je le trouve étrangement peu attirant, avec des couleurs qui n’ont de flashy que la couverture…
Bref, je ne suis pas convaincu mais je me laisse encore un tome… Fidèle je suis même quand c’est dispensable !
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Cellophane
| Ce tome est la suite directe du précédent. De nouveaux éléments viennent expliquer ce que l’on ne comprenait pas… et de nouvelles questions arrivent. Moins nombreuses, certes, mais comme on mêle tout ça au passé de Carmen, le tome reste touffu.
L’ensemble est donc intéressant à lire ; mais il ne faut pas lâcher parce que toutes les implications politiques et financières, si elles finissent par être claires, ne le sont qu’en assimilant bien tous les dialogues parfois pointus…
Les dessins sont toujours magnifiques : Bess s’éclate vraiment dans ses cadrages et ses détails.
La fin de l’album va peut-être un peu vite – tout est mis en place bien tranquillement pour la rencontre entre Carmen et le gros méchant et puis hop, ça se termine avec un poil de précipitation…
Mais ça reste bien sympa.
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