|
| |
|
|
|
|
| Le sixième doigt du Pendjab |
Septembre 2053. Sur une plage de la côte australienne, deux drones nettoyeurs se consument. Pour Carmen la mercenaire, le temps de la retraite s'achève. Russel, son compagnon, vient d'être porté disparu suite au torpillage de son bateau par un mystérieux submersible, mais les garde-côtes n'ont pas retrouvé son corps. Entre Paris et Auckland, Carmen travaillera, cette fois, pour son propre compte. |
  Cellophane
| Il est très beau, ce tome. Somptueux, même.
Les dessins offrent des cases magnifiques avec des plans larges superbes aux couleurs parfaitement maîtrisées qui plongent parfaitement dans l’ambiance. Que ce soient la nature, l’eau, la tempête, les rues parisiennes, les quais ou l’architecture intérieure d’un appartement cossu, tout est magnifiquement maîtrisé et plein de détails, d’angles intéressants…
Pour l’histoire, il faut cependant un poil s’accrocher. Mais comme on sait, avec les cinq premiers volumes, qu’on est rarement déçu, on le fait. Toutefois, tout est plutôt obscur au début : on suit une Carmen qui n'entrave que dalle à ce qui se passe… Et du coup, on n’en comprend pas plus.
Mais la lecture de l’opus, si l'on accroche, réserve une bonne histoire – tordue, certes, mais bonne ! Avec des petites idées sympathiques, que ce soit dans la technologie (comme les poulpes analyseurs ou le maquillage) ou les astuces (les ruses de Carmen pour faire face au tueur).
Alors d’accord, j’ai compris la globalité de l’histoire ; mais un paquet de trucs restent encore assez obscurs… A découvrir dans la suite !
|
|
|
|
|
|
| |
| |