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  Cellophane
| Décidément, ce cycle est perturbant… Après deux tomes sur la vengeance, un sur les baleines, nous voilà plongés en pleine Syrie, dans une ville ravagée, avec des drones autonomes qui attaquent les gens…
Alors certes, quelques personnages, Ivana, de Cambre, Dommy, font le lien entre les albums mais c’est tellement ténu qu’on peine à trouver le rapport…
Pire : jusqu’ici, on vivait dans un monde surpeuplé mais luxueux et à la pointe de la technologie. Là, les villes sont ravagées par les guerres, les robots veulent détruire les humains tout seuls comme des grands… On a presque l’impression de ne pas être dans la même série…
Pour autant, si ça fait presque « one shot », cet album fonctionne (très) bien.
On retrouve le côté action d’antan (dans le prolongement des drones de la première partie, de l’avion de la seconde…) qui marche à fond.
Les dessins sont toujours somptueux ; les couleurs soignées donnent des ambiances excellentes.
Les idées sont toujours là, de la machination à l’incursion finale…
Un chouette tome qui se range dans le cycle de l’eau parce qu’on y parle d’eau mais qui n’a guère de rapport avec les précédents…
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