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| 2056, Corse. Un ouragan de force 4 se dirige tout droit sur l'île de Beauté, touchée de plein fouet par les dérèglements climatiques. Tous les voyants sont au rouge. Seule contre les éléments déchaînés, Carmen fonce tête baissée vers la propriété de De Cambre, l'homme du scandale des eaux lyonnaises, celui aussi qui a mis un contrat sur sa tête... La mercenaire doit redoubler de vigilance !
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  Cellophane
| Sympa, comme le précédent, mais avec moins d’action, moins de rebondissements, de surprises…
Carmen suit son bonhomme de chemin pour accomplir sa mission sauf que, contrairement à la première partie du cycle où des actions se passaient en deux pages, là, ça traîne un peu… On commence, par exemple, par plusieurs pages de soin, développées pour que ça paraisse crédibles. Mais ce passage est un peu long pour ce que ça apporte ou un peu court pour installer un quelconque suspense…
Certaines scènes auraient pu gagner en synthèse (comme le remorquage des baleines ou l’origine des Mazzere) même si c’est probablement utile pour la suite…
Les dessins restent bon, comme les ambiances, les couleurs... Mais là aussi, comme pas mal de choses se passent de nuit, on profite moins de la qualité graphique.
Un bon tome mais moins addictif que le précédent.
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