Earp est aux mains de l'ONU, mais en son absence dans ses bureaux à 20:30, des millions de nano-machines se mettront en route et détruiront tout sur leur passage. Le temps presse. Pourquoi l'ONU a-t-il signé un accord de collaboration avec le Nevada pour l'arrestation de Earp ? Que reproche-t-on au gouvernement américain ? Comment Bugg va-t-il pouvoir neutraliser les nanodromes destructeurs ? Autant de questions qui font monter la pression au cours de cette journée qui peut se solder par la disparition de toute trace de vie sur la majeure partie du territoire américain.
Je me plaignais que le tome précédent était un peu creux ; cette seconde partie du diptyque renverse la vapeur en étant dense (parfois presque trop – si tout s’explique bien à la fin, il y a certains moments où il ne faut pas lâcher l’attention !)
Suite du précédent, donc, qui s’avérait n’être qu’une mise en place pour ce tome-là, fait d’action mais également de magouilles politiques, et d’idées ingénieuses…
Le dessin reste dynamique, comme dans les précédents, et sert parfaitement l’histoire sans temps mort.