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| Pour le compte de l'ONU, Carmen et Naoko participent à l'arrestation de Samuel Earp, un industriel recherché pour avoir provoqué un accident technologique dramatique au Nevada. |
  Cellophane
| C’est bourré d’inventivité, principalement avec Earp complétement connecté au monde extérieur : son œil qui lui permet de donner des ordres aux vaisseaux, ses rencontres en pleine guerre de sécession… Même ces nano-insectes ou ce jury qui fait très « freak »… C’est très bon.
C’est bourré d’action, de l’attaque des premières pages à la charge finale. Le dessinateur, Gess, retranscrit parfaitement ces scènes, clairement, efficacement. D’ailleurs, quand il peut se le permettre (moins que sur le premier cycle), ses cadrages sont excellents.
C’est bourré de flashbacks, très réussis, qui réussissent à nous expliquer qui est Earp sans gêner la progression de l’histoire présente. L’idée de base avec les nano-insectes est très bonne et impressionnante.
Et c’est même un plaisir, à la fin, de découvrir le personnage de l’ombre.
Mais… Quand on ôte l’action, l’inventivité… Il reste un scénario somme toute linéaire et des plus classiques comme on aurait pu en voir dans les films américains des années 1950 ou 1960. Un type, une arrestation, une envie de vengeance, hop, fin de l’histoire.
Alors c’est très bien fait, plaisant à suivre, on tourne les pages avec plaisir et addiction parce que l’enrobage est bon mais j’aurais bien aimé une trame plus complexe, prenante.
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