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| 4 avril 2029 : le système judiciaire, débordé par la recrudescence des délits mineurs, prévoit la cryogénisation des détenus en préventive. D'anciennes plates-formes pétrolières sont alors reconverties en pénitenciers off-shore.
12 mars 2053 : Naoko Sonoda fait la une des médias. Elle est la première cryo-évadée de l'histoire. |
  Cellophane
| Ça se laisse lire.
Évidemment, j’avais lu le résumé en diagonale, je m’attendais à ce qu’une femme cryogénisée s’évade, ce que je trouvais aussi intéressant que surréaliste… Il s’avère que je me suis trompé : quelqu'un permet à une personne cryogénisée de s’évader.
C’est, du coup, beaucoup moins surréaliste et presque terre à terre…
On remplace la cryogénisation par une simple prison, la planque dans un satellite par une maison quelconque et l’envol en vaisseau par une fuite en voiture, on obtient rien de bien nouveau. Le côté futuriste ne sert donc pas à grand-chose ; j’ai presque vu un film avec Gabin et Delon modernisé…
Mais ne boudons pas notre plaisir, c’est entraînant, il y a de l’action, un peu d’humour, quelques idées [inutiles pour l’instant, mais] intéressantes quant à la cryogénisation et ses conséquences…
Les personnages sont suffisamment marqués pour être consistants – à part peut-être Carmen qui, bien qu’elle soit le personnage central, subit plus les évènements qu’elle ne les provoque ou les maîtrise.
Agréable, sans plus. |
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