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| Le célèbre canard détective, s'il boit et fume toujours autant, se méfie dorénavant des petites poulettes qui ont su si bien le mener en bateau par le passé (voir La Nurse aux mains sanglantes). Juré, on ne l'y prendra plus, un canard averti en vaut deux ! |
  Léon le Wacky
| René Paquet, l'impitoyable critique du guide Paquet, a été retrouvé mort dans des circonstances troublantes. Canardo enquête donc cette fois dans le milieu de l'oenologie. C'est nouveau pour notre anti-héros, qui préfère une bonne bière qui mousse à un vin subtil qui fait gouzi-gouzi au palais.
Sokal semble s'assagir. Les histoires de Canardo n'ont plus la noirceur de "La marque de Raspoutine" ou de "La mort douce". La fin est moins nihiliste que dans "La fille qui rêvait d'horizon" et moins cynique que dans "La nurse aux mains sanglantes". L'album est le récit d'une enquête plus "classique", mais c'est néanmoins une histoire qui se lit très agréablement : les dialogues sont savoureux, et Canardo, bien qu'il ressemble de plus en plus au sosie de Peter Falk, reste ce palmipède cafardeux et désabusé que nous aimons. |
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