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  Indy
| N'aimant guère les scénarii de Jodorowsky, et n'étant pas un grand fan des dessins de Manara, je suis resté pourtant sous le charme de cette bande dessinée. L'alchimie entre les auteurs fonctionne à merveille.
Le dessin, en couleurs directes de Manara, y est sans doute pour beaucoup.
Le scénario repose encore une fois , sur les intrigues de Borgia, désormais pape, autour de sa fille, cette fois-ci. Evidemment , Manara ne peut faire l'économie de scènes érotiques mettant en scène une Lucrèce ribaude, sans pour autant en abuser.
La seule chose que je reproche peut-être à l'album, c'est la vision d'une Rome et d'une Eglise un peu trop décadente par les auteurs.
Il faut voir dans cet opus, une aventure romanesque et non un témoignage historique.
Une couverture soignée, un dessin réussi mais le nombre de grandes cases donnent l'impression d'une lecture un peu trop rapide de l'album. |
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