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| Le spectre aux balles d'or |
Evelyne Tran-Lê a déclaré avoir fait les couleurs. |
  nabla
| La suite de "La Mine l'Allemand" perdu vaut tout autant que ce dernier.
Reportez vous à ma chronique de cet album pour vous en convaincre: ce dyptique est vraiment indispensable à tout bédéphile qui se respecte.
L'aventure continue, avec cette poursuite qui conduit les protagonistes - Prosit, Wally Blount, Blueberry et MacClure - droit vers cette mine qui semble à la fois être le chemin du paradis et celui de l'enfer.
Dans les canyons labyrinthiques de la Mesa du Cheval Mort, le lecteur ressent la même impression de malaise que les personnages, et toujours cette sensation d'être observé par ce spectre mystérieux.
La seule déception, on la ressent à la fin. Non pas qu'elle soit ratée graphiquement ou narrativement, mais... on aimerait tant que ça continue ! |
Green Messiah
| Mon dieu, mais quel chef-d'oeuvre de la bande dessinée que ce dyptique (Mine de L'allemand perdu + Spectre aux balles d'or).
C'est l'album de la métamorphose: on passe des "pan-pan les indiens qui se font génocider" (de très grande qualité certes) au western spaghetti, psychologique, crasseux...
Le scénario est excellentissime et plein de rebondissements, le dessin est parfait et le tout est représentatif de l'âge d'or du journal pilote (68-71).
Je vous conseille de vous procurer l'édition qui regroupe les deux épisodes (sous le titre de monts de la superstition). Le meilleur Blueberry (avec la mine de l'allemand perdu et Ballade pour un cerceuil)
J'en tremble de plaisir rien que d'y penser... |
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