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  herbv
| Avec le volume 8 de Beck, les évènements s’accélèrent pour le groupe : Ryûsuke voit un hélicoptère atterrir chez lui avec Léon Sykes à son bord, venu récupérer la guitare Lucille, le chien Beck et se venger de ces deux vols. Sans parler que le groupe pourrait jouer à un festival renommé et le film documentaire sur les Breed sort en salle dans tous le Japon dans lequel le public peut ainsi découvrir un jeune japonais chanter magistralement un titre inconnu.
Serait-ce le début de la gloire pour Koyuki qui ne pensait pas qu’il aurait été autant mis en valeur lors de ce concert privé ? En attendant, il se pourrait bien que cela serve grandement au groupe dans un proche avenir, notamment pour jouer au festival Grateful Sound alors même que Ran cherche par tous les moyens d’empêcher Beck de parvenir au sommet et de promouvoir ses propres poulains comme le groupe Belle âme . La lutte entre le rock artificiel, construit pour le succès commercial, et le vrai rock, issu de passionnés, est belle et bien lancée. Et les membres de Beck pourraient bien trouver des alliés surprenants pour arriver à leurs fins.
Si ce volume confirme que la série est nettement moins comique depuis quelque temps, ce n’est pas pour cela que la qualité diminue. La trame principale de l’histoire commence à être de plus en plus clairement discernable et de nouvelles pistes apparaissent pour l’enrichir. Et si Beck est moins humoristique, le manga continue à être dynamique et permet de passer un excellent moment de détente. A cela, vient s’ajouter une critique pas très subtile de l’évolution musicale de ces dernières années, notamment dans le rock, où l’argent ne semble plus être que la seule motivation de certains. Mais comme cela ne se fait pas au détriment de la lecture, on en redemande encore arrivé à la dernière page. Allez, courage, à peine un mois d’attente pour savourer la suite… |
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