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  herbv
| Quoi de mieux que de chroniquer Beck 7 avec encore la prestation en concert des Queens Of The Stone Age dans les oreilles. En effet, voilà du rock bien dur, bien pur qui permet de se projeter imaginairement dans les live house où se produisent Koyuki et ses compagnons. En effet, dans ce volume, le groupe Beck continue son chemin vers la gloire. Si la route est encore longue, la bonne direction a été prise. Le talent du groupe est bien réel et certains commencent à s’en rendre compte. C'est que leur démo se vend aux Etats-Unis, incroyable, non ? Malheureusement, tout ne va pas au mieux car le passé de Lucille, la guitare de Ryûsuke, semble devoir refaire irruption dans la vie de ce dernier. Et c’est d’ailleurs sur un sacré cliffhanger en rapport avec le fameux instrument que nous laisse la dernière page.
Harold Sakuishi développe dans ce volume l’intrigue secondaire qu’il avait amenée par petites touches au fur et à mesure des chapitres. Lucille prend une importance qu’elle n’avait pas, on apprend enfin son secret et une partie des raisons de la convoitise de certaines personnes pour cet instrument. C’est donc un aspect un peu policier qui vient s’ajouter à la trame principale et l’enrichir, permettant ainsi de ne pas trop se focaliser sur la musique de nos jeunes héros. De même, l’arrivée d’une nouvelle fille qui se met à graviter autour de Koyuki et de Saku va permettre de combler le vide sentimental créé par le retrait (temporaire ?) de Maho. De plus, il faut noter le retour de l’honorable M. Saîto, ce qui apporte une touche comique des plus appréciables. Un excellent volume donc, à apprécier en écoutant de la bonne musique bien rock. |
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