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| Tandis que les répétitions de Beck s'intensifient afin de sortir un premier album, Koyuki et Saku s'entraînent d'arrache-pied pour le concours de rock de la fête du lycée. Si Maho, toujours furieuse, ne s'y montre pas, la présence des membres du groupe ne sera pas sans conséquences pour Koyuki… |
  herbv
| Beck voit un tournant d’importance se produire dans la vie de Yukio Tanaka, il va quitter le collège pour le lycée. En dehors de ce changement radical de statut, les autres évènements qui se produiront seront la confirmation de son talent de guitariste / chanteur et de tête de turc du caïd quelque soit l’école où il se trouve. On ne pourra donc pas s’empêcher d’avoir une impression de déjà vu et de penser que ce volume 6 n’apporte pas grand-chose de bien neuf à l’histoire.
Il est certain qu’on est loin des claques reçues à la lecture des deux précédents opus mais le lecteur peut encore s’attendre à un très bon moment de lecture. En effet, le dessin d’Harold Sakuishi est toujours aussi génial. Il a une formidable capacité à caricaturer les expressions de ses personnages. Il est certain que leurs grimaces et leur physionomie exagérée peut en rebuter certains mais que c’est génial pour ceux qui adhèrent à un tel graphisme. Et comme l’histoire, même répétitive, reste prenante, nerveuse, on ne s'ennuit pas une seconde. Il n’empêche qu’on regrettera un tome nettement moins humoristique que les précédents. Il faut dire que le personnage comique principal, l’honorable M. Saîto, est particulièrement en retrait.
Mais ne boudons pas notre plaisir et laissons nous être entraînés vers l’ascension de notre jeune musicien qu’on devine irrésistible, à défaut d’être dénuée d’embûches. Et ce volume de transition, grâce à un cliffhanger réussi qui relance l'intérêt du lecteur, nous rappelle que les changements de rythme sont indispensables à une œuvre de qualité. A noter que ce volume 6 de Beck devait être accompagné d’un CD audio nous présentant une facette de la scène musicale japonaise mais que divers aléas ont repoussé au volume 8. |
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