|
| |
|
|
|
|
| Shanghai, 1937. Dans toute la Chine,la guerre sème le désordre, les enfants sont les victimes les plus injustement touchées.
Alors que tout semblait les séparer, Yaya, la petite fille d'un riche commerçant, et Tuduo, un petit garçon des rues, vont vivre une aventure extraordinaire.
Voici comment tout a commencé. |
  herbv
| Shanghai, août 1937. La menace d’une guerre entre les troupes chinoises et japonaises à l'intérieur même de la ville est de plus en plus palpable. YaYa, une petite fille de bonne famille ne va pas pouvoir participer à son concours de piano comme cela était prévu, ce qui la désole au point de vouloir s’y rendre seule, uniquement accompagnée de son oiseau familier, Pipo, en désobéissant ainsi à ses parents. Malheureusement, c’est à ce moment précis que l’armée de l’air japonaise se met à bombarder la ville, une explosion réussissant même à commotionner notre jeune héroïne bien imprudente. Tudo, un jeune artiste des rues cherchant à fuir son ignoble « protecteur » vient alors à son secours. C’est alors le début d’une formidable aventure entre deux êtres qui n’auraient jamais dû se rencontrer...
La Balade de YaYa est le nouveau titre d’un jeune éditeur spécialisé dans la bande dessinée sino-française. Restant fidèle au format à l’italienne déjà utilisé pour la série Juge Bao, les Éditions Fei visent ici un public plus jeune et plus familial avec un titre au graphisme très « miyazakien » et en proposant une histoire avec des personnages enfantins hauts en couleur et avec un arrière-plan historique dramatique. Ainsi, l’œuvre s’adresse manifestement à l’intelligence de ses lecteurs, quel que soit leur âge. Cependant, avec uniquement un tome sur les neuf annoncés, il est encore un peu tôt pour se faire un avis définitif sur les qualités du récit. Surtout qu’à raison de l’équivalent d’une bande par page, il faut diviser par trois les quatre-vingt seize pages du livre pour avoir une meilleure idée de sa longueur réelle. Cette lecture qui se révèle donc plutôt rapide n’empêche pas d’attendre avec une certaine impatience le prochain volume grâce à un suspens créé par la dernière case.
|
|
|
|
|
|
| |
| |