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| The autobiography of me too free like a bird |
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  wayne
| Après deux tomes fameux sortis en 2004 et 2005, nous piaffions d’impatience de lire un nouvel opus de l’autobiographie comique approximative à la couverture toilée de Bouzard. Pour ce troisième round, logiquement suffixé « free », le dessinateur remet le couvert encore plus librement. Par un dessin à la plume clair et enlevé, il raconte les petits moments entre potes au bar, la Motorhead attitude et le plantage de tomates. Flopi, son stupide chien parlant revanchard est évidemment de retour pour une touche d’improbable supplémentaire ! Par ce récit hilarant assumant les travers de l’homme adulte, à base de bière, de puérilité et de mauvaise foi, on s’enthousiasme pour le délire poétiquement bête issu de notre quotidien. Bouzard a l’art de faire hurler de rire avec peu de choses (un jambon sec par exemple). |
Coacho
| Fidèle lecteur des oeuvres du Bouzard, je m’empressais de me procurer ce nouvel ouvrage toilé, d’un rose fuschia du meilleur goût après le vert pomme et l’orange vif des précédetns tomes, et je m’attaquais à la lecture rentré à la maison.
Etrangement, après la mise en place de la première histoire, je fus assailli d’un doute. Bouzard n’avait-il pas fait le tour de la question, ne risquait-il pas de tomber dans la répétition ?
Et malgré la certitude de son second degré, je trouvais finalement assez fade sa tirade de l’oiseau et je ne souriais que timidement.
Lecteur fidèle, j’étais aussi peut-être devenu un peu exigeant avec l’auteur et je continuais donc, un peu coupable de pensées négatives.
Et je dois dire que bien m’en a pris car revenait les surréalistes rencontres avec son « Stupid Dog » ! Ces récits dérident tout de suite le lecteur et provoquent de fréquents fous rires par l’absurdité et les improbables dialogues de l’homme et la bête !
L’ouvrage était lancé, et je dévorais la suite d’un trait dans un sourire devenu complet et plus timide.
Encore un très bon album savamment construit par le Bouzard qui reste aussi fort, mêlant son chien aux histoires de quéquette de Sarkozy en passant par les tongs au concert de Motörhead pour finir par gloser sur la célébrité, c’est pétillant, frais et hilarant. Un excellent album, donc.
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