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| L'auteur ayant appris de la bouche de sa mère mourante qu'il est le fils d'un troll, il part en quête de son géniteur, accompagné de son chien fidèle et bougon. Le traumatisme est néanmoins loin de pouvoir cicatriser : pénétrant en forêt de Brocéliance, endroit où l'on peut être quasi certain de trouver un troll, les surprises tombent sur les têtes de notre duo improbablement crétin. Jubilatoire !
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wayne
| En quelques mois, le prolifique Guillaume Bouzard a fait naître de sa plume la fin de son diptyque. On y retrouve ce mélange d’humour et d’émotion qui avait fait la réussite du premier livre. Bouzard créé avec facilité des passerelles entre un comique absurde et des sentiments intenses ; entre l’imaginaire (un père troll, des elfes…) et la réalité (la recherche de repères, la famille…) et joue de la métaphore avec merveille. Quand il évoque sa sœur jumelle troll, ou met en scène la mort d’un triste garagiste au son de Bob Dylan, c’est du génial aigre-doux. On referme l’album, content et chamboulé. |
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