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| Septembre 449. Le légat de Rome et son escorte approchent du camp d'Attila pour négocier la paix avec le roi des Huns. Ces guerriers redoutables, centaures surgis des steppes, ont déjà conquis un territoire plus vaste que l'Empire et menacent maintenant de marcher sur Constantinople ! Parmi les cadeaux censés amadouer Attila, au milieu de l'or et de l'argent, les Romains apportent une étrange créature : Lupa la louve, symbole de Rome. Mais les prêtres Huns voient en cet animal le présage de la mort de leur chef. |
Grunt
| L'épopée du roi des Huns, Attila, le seul qui osa piller l'empire Romain, est, au travers de cette série, très fidèlement reconstituée.
Sur fond de partie d'échec, Mitton nous conte l'invasion stratégique, effroyable et sournoise de peuple hunnique, avec, à sa tête, Attila le violent, qualifié par les historiens comme « le fléau de Dieux ».
Depuis son arrivée aux portes de Constantinople à sa mort douteuse lors de sa nuit de noces, en passant par l'assassinat de Bleda, son frêre, commandité par Attila lui-même, ainsi que par sa plus grande défaite lors de la bataille des Catalauniques, toute son existence est retracée de manière correcte. Le seul bémol à la véracité de ces évenements reste l'apparition de Lupa, principale héroine de la Série Attila Mon amour, femme-louve au charisme aussi envoutant que ses formes... La Lupa, sous le trait plein d'érotisme de Bonnet, bannie par son père, l'empereur de Rome en personne, deviendra la première courtisane du terrifiant roi Hun, et sa seule conseillère en stratègie guerrière.
Une très bonne série qui ancre la légende fascinante d'Attila dans une retrospective historique fidèle et agréable. |
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