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| Alpha met en scène Assia Donkova, une jeune moskovite résolue qui visite les galeries d'art parisiennes et y recherche de jeunes talents prometteurs. C'est ainsi qu'elle s'est retrouvée en présence du peintre Julien Morgan. Ce dernier est-il seulement un artiste plein d'espoir? |
  frads
| Cette BD a toute une vsleur affective à mes yeux parce que c'est l'une des premières que j'ai acheté avec mon argent à moi. :o)
Il y a plusieurs choses que j'ai appréciées dans cette BD. La mafia russe qui décline après la chute de l'URSS, les groupuscules isssus de l'ex-KGB, la relation particulière qui s'établit entre Alpha et Assia Donkova...
Et puis il y avait aussi cette manière qu'avait Pascal Renard d'aborder les choses. Un rythme d'enchainement des évènements assez personnel, et un découpage qui lui aussi partait dans tous les sens. Il y a toute une atmosphère dans cet album (et aussi dans celui qui suit) qui fait que cette histoire, peut-être très conventionnelle à la base, a fait que je l'ai beaucoup appréciée quand je l'ai lue.
Bon, c'est vrai que depuis, mon avis a un peu changé, et je reproche un peu la violence gratuite et le sexe gratuit aussi utilisés par Pascal Renard, qui font de cette histoire quelque chose de vachement premier degré quand même.
Sinon, il faut quand même retenir le dessin de Jigounov qui a son style, même si il est dans une veine plutot classique, et que j'apprécie. |
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