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| L’or qui reposait sur la planète Rhin a été dérobé! Le coupable n’est autre qu’Albérich, du clan des Nibelungen. S’il parvient à forger un anneau avec cet or, il pourra alors diriger l’Univers tout entier! L’anneau provoque le courroux de Wotan, le roi des Dieux. La mission d'Albator et de Tochirô sera de ramener l’or sur la planète Rhin. C’est ici que commence le conflit causé par l’anneau!
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  herbv
| Qu'y a-t-il de commun entre l'allemand Richard Wagner et le japonais Leiji Matsumoto ? C'est le manga L'Anneau des Nibelungen. En effet, c'est en se basant sur l'opéra du même nom que le mangaka a développé cette aventure du Capitaine Albator.
Un individu mystérieux (mais il ne le restera pas longtemps) se fait forger un anneau à partir de l'or du Rhin volé sur la planète du même nom, ce qui lui donnera le pouvoir de dominer l'univers et même de détruire les dieux. Ainsi, il pourra se venger d'eux. Albator, sous l'impulsion de sa navigatrice, Miimé (de la famille des Nibelungen) va devoir contrecarrer ces plans de domination et de destruction. Il sera accompagné pour cela par ses fidèles compagnons : Miimé, Tochiro, Emeraldas et Yattaran. A ceux-ci se joindra Tadasahi-Daiba, le fondeur de l'anneau.
N'ayant pas ni vu ni lu la série du fameux pirate de l'espace, c'est avec un sacré handicap que je partais, chose que je crains ne pas avoir pu surmonter, étant incapable d'apprécier entièrement le mélange réalisé entre deux univers totalement dissemblables par manque de références. Il reste que j'ai trouvé la lecture de ce premier tome plutôt agréable et j'ai pu apprécier le dessin de ce maître du manga que j'avais découvert avec la série Galaxy Express 999. La série étant courte, il n'y a pas de raison de ne pas suivre jusqu'au bout cet exercice de style.
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