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- | (52 #1) [Couverture], Jones J. G. (D) | | Golden Lads & Lasses Must..., Golden Lads & Lasses Must... (52 #1) [Récit à Suivre - Début], Johns Geoff (S), Morrison Grant (S), Rucka Greg (S), Waid Mark (S), Giffen Keith (D), Bennett Joe (D), Jose Ruy (E), Sinclair Alex (C) | | Looking Back at Tomorrow, Looking Back at Tomorrow (52 #2) [Récit à suivre], Johns Geoff (S), Morrison Grant (S), Rucka Greg (S), Waid Mark (S), Giffen Keith (D), Bennett Joe (D), Jadson Jack (E), Sinclair Alex (C) | | New World Order, New World Order (52 #3) [Récit à suivre], Johns Geoff (S), Morrison Grant (S), Rucka Greg (S), Waid Mark (S), Giffen Keith (D), Bennett Joe (D), Jose Ruy (E), Sinclair Alex (C) | | Dances with Monsters, Dances with Monsters (52 #4) [Récit à suivre], Johns Geoff (S), Morrison Grant (S), Rucka Greg (S), Waid Mark (S), Giffen Keith (D), Bennett Joe (D), Jadson Jack (E), Sinclair Alex (C) | | History of the DCU, Looking Back at Tomorrow (52 #2) [Récit complet], Jurgens Dan (SD), Thibert Art (E), Cox Jeromy (C), Major Guy (C) | | History of the DCU, New World Order (52 #3) [Récit complet], Jurgens Dan (SD), Thibert Art (E), Cox Jeromy (C), Major Guy (C) | D : Dessin S : Scénario E : Encreur C : Couleurs Que s'est-il passé dans l'univers DC entre la fin d'Infinite Crisis et Un an plus tard ? Grant Morrison, Geoff Johns, Greg Rucka et Mark Waid nous le révèlent dans la maxi-série 52 que nous publions dans treize mensuels, le grand succès DC de l'année dernière aux États-Unis. Une parution incontournable pour tous les passionnés du monde super-héroïque. Autre(s) publication(s): Dances with Monsters (52 #4) | | Golden Lads & Lasses Must... (52 #1) | | Looking Back at Tomorrow (52 #2) | | New World Order (52 #3) | |
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  devotionall
| Marvel comics et DC comics sont les deux plus grandes maisons d'édition de comics aux USA, et elles se livrent une concurrence impitoyable. Après la Civil War des premiers cités, la riposte de DC est contenue dans son mega événement de 2006 : Infinity crisis. Une vaste saga où l'univers super héroïque de l'éditeur est bouleversé de fond en comble; l'opportunité de repartir à zero sur des bases plus saines, et de reconquérir de belles parts de marché. Toutes les séries régulières, à l'issue de la crise, subissent un bond en avant d'un an, durant lesquels les principaux héros Dc ( Superman, Batman, Wonder Woman ) semblent avoir disparus, ou tout du moins ne sont plus en activité. Mais que s'est-il passé au juste durant cette année sabatique qui ne nous a pas été raconté. Réponse avec la mini série 52. Comme le nombre de semaines qui se sont écoulées sans que nous n'en sachions rien.
DC comics se lance dans un pari risqué : publier une série au rythme d'une sortie par semaine, au lieu du rythme mensuel classique. La critique s'était montré assez dubitative, au départ, mais force est de constater - alors qu'aux States le projet amorce la dernière ligne droite - qu'il s'agit d'une bien jolie réussite : les chiffres de vente sont au beau fixe, la qualité scénaristique a séduit les plus exigeants, et aucun retard n'est à déplorer dans les parutions. En France 52 est publié par Panini Comics sous forme d'un mensuel ( durant 13 mois ) qui regroupe 4 semaines de parution à chaque fois. L'occasion de faire connaissance, pour les non initiés, avec toute une batterie de seconds couteaux de l'univers DC, tous ces héros qui vivent habituellement dans l'ombre, et qui se voient projetés sur le devant de la scène suite à la disparition des têtes d'affiche.
Parmi tous ces personnages, ce numero 1 nous offre Booster Gold comme protagoniste : un héros qui vient du futur et exploite ses connaisances sur le déroulement des événements contemporains pour faire de l'esbrouffe et gagner en popularité, et pas seulement! Booster Gold a une tenue sponsorisée par de grandes firmes américaines, et après chaque intervention spectaculaire, recommande des marques de Cola ou de Cheese burgers en direct live contre monnaie sonnante et trébuchante. On suit aussi les déboires de l'Homme Elastique qui ne se remet pas de l'assasinat récent de sa femme et flirte avec les idées noires et les envies de suicide. Ce comics est pétillant et plein d'humour, jamais banal et truffé de destins qui s'entrecroisent et tissent une trame qui gagne à chaque numero en complexité. C'est signé Geoff Johns ( scénariste de presque tous les titres DC! ) et Grant Morrison ( passage remarqué sur les X-men ) pour la trame, et Keith Giffen et Joe Bennet aux crayons, tout du moins pour ce premier rendez-vous. Pour une fois que DC nous envoie du nouveau, et du bon, essayez de ne pas perdre le fil de la série !
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