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Bande dessinée érotique, un genre à part entière?

Bandes Dessinées : auteurs, séries, et toutes ces sortes de choses... ]


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Pages : 1

Mr_Switch, 07.01.2014 à 20:15353556
Tiens, Glénat manga va bientôt inaugurer sa collection Erotic avec un titre signé Miyazaki Maya !

lanjingling, 09.09.2012 à 13:43346388
Aba Sourdi :
C'est quand même plus urgent de faire entrer les Dubos/Pichard qui sont des classiques, des sortes de Forest au féminin en plus grand-guignolesque et outrageux (je me suis rappelé que je pouvais aimer l'érotisme).


Caroline Choléra, Donnez-moi mon copain quotidien (tome 2)
Scénario : Danie Dubos
Dessin : Georges Pichard
Editions du Fromage
1978
N'empêche, je ne vois pas d'autre exemple de scénariste féminin érotique, et pourtant l'Histoire de la BD l'a oubliée !

Il y a une bonne dose d'érotisme dans certains scénarios de Loo Hui Phang, mais effectivement, ele n'officie pas dans le l'érotisme comme genre; elle traite néanmoins beaucoup des arts de genre.

lldm, 17.08.2012 à 1:54346165
Pierre :
J’ai eu un mal fou à identifier l’auteur de ce dessin mais je crois bien y être parvenu.




merci

Mr_Switch, 15.08.2012 à 18:01346139
Pierre :
Un épisode méconnu de l'adolescence de Spirou:



Note pour plus tard. Pierre parle de c'te image.

Pierre, 15.08.2012 à 1:51346123
J’ai eu un mal fou à identifier l’auteur de ce dessin mais je crois bien y être parvenu.

Je me permets de faire le bref récit de cette trouvaille : il y a quelques années, en recherchant sur le web les Modi de Jules Romain gravés par Raimondi, j’ai atterri sur une galerie fourre-tout (ah ah) très abondamment fournies en dessins pornographiques de toute sorte, gratuite par surcroit mais ayant le désavantage de ne présenter que des dessins non légendés sans même une attribution. J’ai eu un béguin pour une série d’estampes que j’ai rangée sous la rubrique « artistes inconnus ». Ces images dormaient depuis lors sur une clé USB et quand ces derniers jours, faisant un peu de ménage je les ai retrouvées et me suis mis en tête d’en identifier l’auteur.

J’ai moi aussi au cours de mes recherches songé à Rojan qui présente quelques similitudes (comme dans sa superbe idylle printanière au crayon de couleurs), le problème dans le cas présent étant que chez un même dessinateur, le style évolue sensiblement d’un travail à l’autre pour une même période. J’épargnerai donc l’énumération fastidieuse des étapes par lesquelles je suis passé pour arriver à cette identification (la chose amusante étant tout de même mon hypothèse de départ complètement erronée –que l’auteur était anglo-saxon, qui malgré tout m’a aiguillé vers la solution).

Je crois donc qu’il s’agit d’André Collot (1898-1976) dans sa première période. On trouve sa bibliographie consultable ici. Dans une autre série moins fignolée mais signée, visiblement de la même époque, on trouve des images d’un style similaire. Dans mon exemple le traitement de la table, des papiers et des bas laisse peu de doutes. Au cours des décennies suivantes notre artiste a évolué dans une manière moins raffinée, plus gaillarde comme sur cette illustration des Dames galantes de Brantôme.

La série qui nous intéresse quant à elle est visible ici (complète ?). D’après la biblio, cela pourrait bien être Leurs Rêves, 1929, 10 lithographies 12x15 en couleur (mais il en manquerait une).

D’autres images, du même, dans un style voisin, des illustrations pour la fée Paillardine. Et , des illustrations anonymes pour le Pybrac de Louÿs, attribuées par un vendeur à Berthome Saint-André (qui n’a pourtant jamais rien fait d’approchant) et dont le style est très proche.

J'espère qu'en dépit de tous ces liens mon message demeure lisible et que l'identification est convaincante. Enfin, il y a des choses merveilleuses à découvrir dans le dessin pornographique du vingtième siècle, particulièrement en France, et je suis ravi de voir qu'il y a des amateurs.


Bicephale, 20.02.2012 à 17:30343055
Charlie Brown :
Bon, faudra peut-être que je lise d’autres trucs de Crepax, ou les premiers volumes de Valentina, pour revoir mon jugement peu probant parce que basé sur la lecture d’un seul ouvrage de son oeuvre...

Oui. Je crois vraiment que le travail de Crepax mérite qu'on s'y attarde, y compris (et surtout) s'il résiste.

Charlie Brown, 16.02.2012 à 15:57343000
Tout d’abord, Bicéphale, merci pour ton point de vue et celui d’Alain Rey.
Pour le peu que j’en ai lu (Valentina au débotté est pour l’instant le seul volume de la série que j’aie lu, ainsi que le seul Crepax), je suis assez d’accord avec Alain Rey et toi quant au style narratif et à la qualité graphique, même si je ne saurais l’écrire ou le formuler aussi bien que vous. N’empêche que je me suis un peu fait chier et que le bouquin a fini par me tomber littéralement des mains au dernier chapitre.

Je n’ai rien contre les procédés onirico-psychédéliques, bien au contraire. Ce que je reproche à Crepax, dans ce volume en tout cas, c’est une certaine lourdeur narrative en contradiction avec la légèreté et la finesse du trait et, parfois, du propos. Par exemple, dans le premier chapitre (je n’ai pas le titre sous les yeux au moment où j’écris ces lignes), il raconte finement son histoire à base de science-fiction, il nous plonge intelligemment, sans forcer le trait, dans un univers dont on saisit lentement mais correctement le sens. Mais, en fin de chapitre (ou dans le chapitre suivant, je ne sais plus), il se croit obligé de nous expliquer la séquence précédente, de nous raconter autrement, mais une nouvelle fois, l’histoire, au cas où on n’aurait pas bien pigé. Seulement, cette fois, il le fait de manière lourde et, de mon point de vue, inutile. Le lecteur passe alors du statut de personne intelligente autonome à celui de personne qu’il faut prendre par la main pour espérer ne pas la perdre en route. Je trouve ça dommage.

Enfin, sur un plan purement érotique, Crepax "bande" peut-être "dur pour ce qu’il fait", comme tu dis, mais il laisse son lecteur en dehors de son fantasme. Ou, à tout le moins, il ne sait pas le faire partager. Bon, on pourra ici objecter que chacun ses goûts, chacun ses fantasmes, chacun sa perception, son ressenti. Certes. Mais le fait que ça m’ait laissé de marbre me fait me poser des questions. Sur moi, tout d’abord. Est-ce normal que, moi qui suis d’un naturel plutôt sensible à la chose érotique (pour peu qu’elle soit féminine), cela me laisse de marbre ? Certes, les rêves et fantasmes de Valentina sont pas mal peuplés de scènes sado-masochistes et ce n’est pas trop mon truc. N’empêche qu’il y a des artistes qui arrivent sans peine à me faire partager leurs fantasmes sado-masochistes. Crepax, non. Et je le déplore. Et je me pose alors la question de l’adéquation entre son procédé narratif et le manque de partage fantasmatique. C’est aussi ce que je voulais dire par mon "Il y a, chez Crepax, un enrobage "intellectualisant" qui rend la chose assez froide et ennuyeuse. Sans compter un style narratif que je ne trouve pas très fluide, voire laborieux". Si son but est de se faire du bien tout en annihilant le désir/plaisir chez son lecteur (et ça aussi il y a des artistes qui savent le faire), alors c’est réussi.

Bon, faudra peut-être que je lise d’autres trucs de Crepax, ou les premiers volumes de Valentina, pour revoir mon jugement peu probant parce que basé sur la lecture d’un seul ouvrage de son oeuvre...

Bicephale, 16.02.2012 à 14:19342998
Charlie Brown :
Il y a, chez Crepax, un enrobage "intellectualisant" qui rend la chose assez froide et ennuyeuse. Sans compter un style narratif que je ne trouve pas très fluide, voire laborieux.

IL y a un passage intéressant dans le livre Les spectres de la bande d'Alain Rey au sujet de Crepax. Je me permets de le citer. Même si je ne partage pas tout ce qu'il écrit, ça me paraît néanmoins intéressant :

"C'est la qualité des récits oniriques et réalistes, l'observation critique de la société, une pensée politique franche, informés par une technique éblouissante du montage qui rendent Crepax irremplaçable. Depuis Neutron et surtout Valentina (1965), le temps de la bande dessinée a cessé d'être linéaire et régulier. Certes, Crepax utilise des procédés connus : multiplication de petites cases quasi simultanées signifiant l'immédiateté d'une perception impressionniste, angles de vision inusuels, motivés par la situation du personnage-regard, multiplication des inserts "perceptifs", lumières, bruits, très gros plans à la limite de la lisibilité, etc. Mais leur mise en œuvre est strictement soumise aux partis narratifs. Elle suppose un temps du récit développé ; elle confère aux pages une physionomie très variable dans le degré analytique (de quatre ou cinq à vingt ou trente minuscules unités), et dans l'équilibre des noirs et des blancs. Elle compromet la "lisibilité" narrative par la multiplication d'éléments disjoints que le regard doit intégrer. La dialectique du simple et du complexe à l'intérieur de chaque case, celle du fragmentaire et du total, instaurent un nouvel ordre de déchiffrage, reflet d'une syntaxe où les enchâssements remplacent la juxtaposition."

Sinon, plus anecdotique, ç'aura été une sacré surprise pour moi de découvrir, à la lecture des Valentina, à quel point Frank Miller avait emprunté très tôt nombre d'éléments à Crepax pour injecter une dose d'érotisme dans ses travaux chez Marvel : ellipse des traits figurant un visage, tracé des lèvres, des yeux. On retrouve beaucoup (trop ?) de Crepax chez les personnages féminins de Miller.

Et puis, ce que je trouve très beau chez Crepax, c'est la création, sur la page, agencement de cases, d'un érotisme qui participe autant du temps que de l'espace. L’œil est invité à s'attarder sur les détails : comment s'attarder permet à l’œil d'étudier le détail (de découvrir la charge érotique qui lui est propre : avec un "gros plan" d'objet, ce n'est pas un visage qui apparaît chez Crepax, mais un sein, un sexe), et comment le détail force (en douceur) au ralentissement. Il y a un temps de la narration très spécifique, qui vise à l'émergence d'un érotisme aussi fragile (parce que du détail, parce que du ralentissement) que puissant, puisque ainsi tout s'érotise : les corps, les objets, les traits même du dessin, le mouvement même du tracé (à n'en pas douter, Crepax bande dur pour ce qu'il fait : l’œuvre est de joie / non pas "intellectualisante" mais cérébrale et charnelle : pleine, entière, ne laissant rien hors).

Et puis on remarquera que si les corps y sont souvent morcelés, ça n'a rien de du charcutage propre à l'industrie du cinéma porno : le cadre de la case ne coupe pas, le détail n'est pas intrusif. Je suis aussi marqué par l'intensité des lignes et la profondeur des noirs, du trait le plus fin (en nuées pour composer cheveux, fourrures, linges, figurer le frou-frou universel) à l'aplat le plus massif. Nuées de traits, aplats, autant d'occasions pour l'œil de se perdre. Et le rythme interne aux cases, le rythme interne à la planche, comment tout ça vibre.

Charlie Brown, 15.02.2012 à 9:52342979
Hu hu hu... Je savais pas qu'il existait un tel sujet sur Bulledair. :o)
Comme je voulais causer de ma dernière lecture et que j'hésitais entre le sujet aux dernières lectures consacré et celui sur Futuropolis, j'ai décidé d'opter pour une troisième voie en déterrant celui qui avait le mot "érotique" dans son intitulé.
Veuillez accepter mes plus plates excuses pour avoir exhumé un cadavre.






Ça faisait longtemps que je voulais aborder la Valentina de Guido Crepax... Et je suis assez déçu. Peut-être n’aurais-je pas dû commencer par le tome 7, datant des années 80, mais bon, y avait que celui-là de disponible à la bibliothèque.

Bref, ça m’a fait un peu la même impression que lorsque j’avais tenté d’approcher les balbutiements de la BD franco-belge plus ou moins érotique (et plus ou moins aux marges de la science-fiction en général), des années fin 60 / début 70 (de la Barbarella de Forest aux oeuvres des éditions Losfeld, en passant par les bandes de Pilote/Dargaud et Charlie/Le Square, même si j'en ai pas lu des tonnes non plus, loin de là...).
Assez chiant à lire, malgré un dessin intéressant. Ça m’a pas mal fait penser à Druillet aussi, à ce niveau là. Quand j’avais tenté de lire du Druillet, il y a pas mal d’années de cela, je me disais : "Quelle virtuosité graphique, certes. Mais qu’est-ce que c’est chiant, quand même, en même temps..." (oui, je sais, pour certains, ça doit friser le blasphème ce que je dis là...). Il y a, chez Crepax, un enrobage "intellectualisant" qui rend la chose assez froide et ennuyeuse. Sans compter un style narratif que je ne trouve pas très fluide, voire laborieux.
Bon, peut-être faudrait-il que je lise d’autres trucs de Crepax, mais ça ne m’a pas donné envie de renouveler l’expérience.

Finalement, quoi qu’on en dise, à virtuosité graphique égale, Manara ou Pichard, ça a beau être plus terre à terre, c’est quand même plus agréable à lire... :o)

asacem, 09.12.2006 à 11:29271846
pasto :
la pornographie c'est la prostitution des signes, il y a donc une notion de détournement, de perversion de la représentation.


A ce compte là il vaut mieux parler d'obscénité comme Jean Baudrillard dans ses Stratégies Fatales...

lanjingling, 09.12.2006 à 8:05271816
je viens de recevoir ca, ca arrive bien :

Women in a society of double-sexuality

A collective exhibition with 13 distinguished Chinese female artists serving a visual pleasure ranging from painting, sculpture, installation and new media art.

Artists: Yu Hong, Chen Qingqing, Xiong Lijun, Xiao Lu, Cai Jin, Jiang Jie, Chen Qiulin, Peng Yu, Shen Na, Cui Xiuwen, Xiang Jing, Chen Lingyang and Chen Ke.

Curator: Zhu Qi

Date: 16 December 2006 – 18 January 2007
Mon – Sat 11am – 7pm (Close on Sunday and Public Holidays)

Exhibition @ Tang Contemporary Art
Unit B-28 (Basement), Silom Galleria
919/1 Silom Road (Soi 19), Bangkok 10500 Thailand

OPEN RECEPTION: Tang Contemporary Art cordially invites you to the opening reception on Saturday, 16 December 2006 at 4 pm. There will also be a performance by Xiao Lu.

An illustrated catalogue with essays will be published to accompany the exhibition.

EXHIBITION BACKGROUND

Since the mid 1990’s, China has entered an era of unprecedented and radical social transformation, which is unique and unseen in China’s history in terms of scale and nature. She has become a society of what we called “double-sexuality” (this name refers to the bizarre and fascinating reality of the co-existence of both socialism and capitalism; one functions as a basic social structure, and another as an ideology). This unique social system differentiated itself from any other capitalist countries in this globe, it indicates that contemporary China has rapidly thrown itself in a current of super-reform that touches every level and aspects of the society and altered the looks of its social landscape.

The “double-sex society”
has facilitated the massive and rapid social structural alteration in contemporary China, owing to the impelling force of both political and capital movement. It brings a series of social problems such as the demarcation and polarization of social classes and the destructive impact upon natural environment. However, it did change the face of China greatly, embodied in the fast urbanization of Chinese society that was culturally and economically based on agriculture in the past, and also the emergence of pop culture that is due to the growth of vast middle class in the country.

Under such a historical and social background, Chinese contemporary art has started tackling the issues of the shifting of identities and individuals in the society, and expressed personal feelings and reflections upon these issues. The emblem of this phenomenon is the end of marginalization of avant-garde art in the society, and the start of various experimental practices of new media and materials. Post-70’s art and Female art have also set up their own characteristics and major concerns during this period.

The artworks conducted by women artists within contemporary art domain do not necessarily refer to feminism art. It has undergone an overall rise in terms of art subject, scale and artistic achievement from the mid 1990’s to today. Chinese female art actually has been lacking a truly ideological claim and theoretical support compared with the western feminism movement. Female art in China although has carried visually a sexual identity, but in nature it’s a kind of display of double-sexuality. It’s not really an art of feminism in the strict sense.

That said, Chinese female art does not emphasize very much its sexual characteristics and its gesture against stereotypical idea of patriarchal cultural power. Its major concern within this period is the transformation of the self-image and social role of women in the changing society. The cultural as well as ideological influences projected by the “double-sexual” society upon individuals have also been expressed in their art.

The purpose of this exhibition is to have a relatively overview of female art practices in China since 1995. The exhibition will feature 13 distinguished Chinese female artists in different artistic expressions ranging from painting, sculpture to installation, photography and new media art.

lanjingling, 09.12.2006 à 7:04271806
asacem :
Jeanbonnau :


(...)Je fais une différence entre l'érotique et le pornographique, l'érotique pouvant être une forme élégante et suggestive de traiter le thème du désir sexuel alors que le pornographique a souvent un caractère vulgaire, parfois répugnant et s'attache beaucoup moins au désir qu'au plaisir.(...)



Je ne suis pas du tout d'accord avec cette distinction. A part la question des appareils génitaux bien visibles et érigés, je ne vois pas de frontière entre pornographie et érotisme.
jusque la, je suis d'accord
asacem :
Et je vois quant à moi, si on s'en tient à la frontière porno/érotique comme montrer/pas montrer les parties génitales, autant de vulgarité, voir de répugnance des deux côtés.
pas vraiment d'accord, dans le sens ou pour moi montrer des organes genitaux n'est pas plus - ou moins - repugnant qu'un tres gros plan sur n'importe quelle partie du corps. quand a la vulgarite, j'y vais aussi de ma definition: l'erotisme, c'est la pornographie des hypocrites ou des coinces :o)

Gally, 09.12.2006 à 1:36271804
la prostitution des cygnes ? C'est dégueulasse...

pasto, 09.12.2006 à 0:25271802
la pornographie c'est la prostitution des signes, il y a donc une notion de détournement, de perversion de la représentation.

everland, 08.12.2006 à 22:46271800
En général, on dit que l'érotisme c'est ce qui donne à penser (donc forcément il y a suggestion et on montre pas les bites) et que la pornographie c'est ce qui donne à voir.

Il me semble que la notion de vulgarité, très subjective, n'a pas grand chose à voir avec ces définitions.

Sinon j'aime bien aussi la "définition" beaucoup plus floue mais plus jolie de Pierre :o)

Pierre, 08.12.2006 à 19:27271791
La pornographie c'est l'érotisme des autres.

asacem, 08.12.2006 à 19:20271789
Jeanbonnau :


(...)Je fais une différence entre l'érotique et le pornographique, l'érotique pouvant être une forme élégante et suggestive de traiter le thème du désir sexuel alors que le pornographique a souvent un caractère vulgaire, parfois répugnant et s'attache beaucoup moins au désir qu'au plaisir.(...)



Je ne suis pas du tout d'accord avec cette distinction. A part la question des appareils génitaux bien visibles et érigés, je ne vois pas de frontière entre pornographie et érotisme. Et je vois quant à moi, si on s'en tient à la frontière porno/érotique comme montrer/pas montrer les parties génitales, autant de vulgarité, voir de répugnance des deux côtés. Honnêtement Serpiéri est plutôt sale et idiot. Je préfère même un Férocius ou un Kevin Taylor à Serpiéri. Je lui préfère aussi un Manara qui a fait de bonnes choses (principalement dans le pornographique d'ailleurs).

effer, 08.12.2006 à 18:54271783
effer :
Paolo Eleutéri Serpiéri, Druuna, ça doit déjà être dans la base!

correction

effer, 08.12.2006 à 18:53271782
MR_Claude :
ca oui, pour un sujet bouche-trou, ca se pose la :o)

Bien vu! :-))

effer, 08.12.2006 à 18:52271781
Paolo Eleutéti Serpiéri, Druuna, ça doit déjà être dans la base!

MR_Claude, 08.12.2006 à 18:20271778
ca oui, pour un sujet bouche-trou, ca se pose la :o)

Jeanbonnau, 08.12.2006 à 18:15271777
Comme je ne poste rien d'intéressant, les fabuleux bullechefs ont décidé que mes messages seraient remplacés par celui ci: CLIQUEZ LES PUBS!
Mais ne me dites rien, je ne suis pas au courant.
Pour faire supprimer mon compte, envoyez un message au bullerobot, pour me sauver, envoyez votre numéro de cb.

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