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Le bonheur est dans le Prado

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Thierry, 11.03.2015 à 14:38358146
en relecture, ce n'est plus trop ma came. C'est bien fait mais sas plus. Question de gout.

Thierry, 10.03.2015 à 9:42358133
assez déçu par ce livre alors que j'aime Prado en général.
L'idée est intéressante (mais rappelle un peu trop Demain les Chiens de Simak... impression accentuée par le titre le l'album dans son édition Humanos) mais la forme ne le sert pas. Histoires trop courtes pour poser le contexte, présenter des personnages et développer une histoire intelligible. On se retrouve avec des dialogues trop longs et trop explicatifs, une mise en scène rigide. Cela sans dire que le graphisme a fort vieilli. Dommage, le sujet était intéressant.

THYUIG, 27.09.2006 à 18:25265207
Un Prado dans la lignée de "Demain les dauphins" mais qui glisse doucement vers les "chroniques absurdes". Le monde est planifié, stratifié socialement, et Prado explore une à une chaque classe dans une tentative de nous prouver l'aberation du système. Et il y a de quoi. Un noir et blanc monctrueux, plein de traits et qui persuade un peu plus de la cruauté du monde décrit. 4 robots.

Pierre, 02.09.2006 à 1:02262897
Pour moi ces Fragments de l'encyclopédie des dauphins sont un peu l'équivalent bd de 2001 l'Odyssée de l'Espace.

Par ailleurs, je tiens à dire qu'une bulledairienne plus intelligente et cultivée que moi, viens de m'informer que le titre français de Demain les Dauphins était un clin d'oeil à un classique SF de Clifford D. Simack, Demain les Chiens.

Cobalt 60, 01.09.2006 à 16:38262864
A propos, il n'y a pas un quatrième tome aux chroniques absurdes ?

THYUIG, 01.09.2006 à 15:49262861
Exactement ! (copyright chrisbi)

MR_Claude, 01.09.2006 à 15:41262859
THYUIG :
Pas d'accord, les planches sont splendides, bien sûr il n'y a pas de gros vaisseaux mais les décors valent plus que le coup d'oeil. Je pense surtout aux planches illustrant le chapitres sur les arbres, pis aussi la toute première histoire. Ce bouquin est magnifique, sûr qu'une relecture l'améliore encore.


oui, les decors quand ils sont utiles, ils sont bel et bien la. Quand il n'y en a pas, ca me parait delibere :o)

THYUIG, 01.09.2006 à 15:30262856
Pas d'accord, les planches sont splendides, bien sûr il n'y a pas de gros vaisseaux mais les décors valent plus que le coup d'oeil. Je pense surtout aux planches illustrant le chapitres sur les arbres, pis aussi la toute première histoire. Ce bouquin est magnifique, sûr qu'une relecture l'améliore encore.

MR_Claude, 01.09.2006 à 15:25262855
Cobalt 60 :


Je tempère un peu l'avis ci-dessous/dessus en précisant que le bouquin est un peu désservi par une forme assez austère qui joue contre lui au premier abord : rendu grisâtre et sans contraste, peu de décor, dessin parfois pas très assuré et mou, heureusement, les histoires sont excellentes en effet. (Merci de ne pas me reservir l'argument éculé de la forme au service du fond, please). :-)


(j'ai poste mon verdict avant de relire ces posts)

D'accord pour la forme, dans la plus pure tradition des bouquins humanos des annees 80, le livre fait cheap. Moins d'accord pour le dessin en lui-meme, l'absence de decor me parait (dans ce cas ci) parfaitement coherente, pour des recits centres sur les personnages. C'est pas de la SF hard science, avec son lot de vaisseaux ou autres, la sf est meme ici presque un pretexte. Des lors, les decors sont vite superflus, j'irais meme rapprocher ca d'une demarche a la Eisner, qui enlevait tout ce qui n'etait pas directement utile.

MR_Claude, 01.09.2006 à 15:13262853
je m'en voudrais de trouver des contre-exemples, mais ca me demange :o)

THYUIG, 01.09.2006 à 15:07262851
MR_Claude :
y'a bon SF comme j'aime, celle qui s'interesse a l'homme en premier lieu. Ici, au travers d'histoires courtes qui se suivent (dans la chronologie de l'histoire), on apprend rien de moins que le devenir de l'espece humaine, et ses eventuels successeurs. Entre grands espoirs et petites trahisons, sa destinee sera fidele a lui-meme, a ce qu'il est, et des lors qu'il changera trop, il deviendra autre chose.
Le dessin, bin c'est du Prado, et cette ecole 'realistea' qui donne du volume, de la chair (a la facon d'un Liberatore), tout en restant remarquablement sobre.
Tour a tour pessimiste ou optimiste, un livre a ranger a cote de ceux d'un Bradbury et ses chroniques martiennes, par exemple. 1 planete, 1 homme, 1 singe, 1 dauphin, et 1 arbre.


Et comme dit chrisB :"le chef a toujours raison" ! :o)

MR_Claude, 01.09.2006 à 15:05262849
y'a bon SF comme j'aime, celle qui s'interesse a l'homme en premier lieu. Ici, au travers d'histoires courtes qui se suivent (dans la chronologie de l'histoire), on apprend rien de moins que le devenir de l'espece humaine, et ses eventuels successeurs. Entre grands espoirs et petites trahisons, sa destinee sera fidele a lui-meme, a ce qu'il est, et des lors qu'il changera trop, il deviendra autre chose.
Le dessin, bin c'est du Prado, et cette ecole 'realistea' qui donne du volume, de la chair (a la facon d'un Liberatore), tout en restant remarquablement sobre.
Tour a tour pessimiste ou optimiste, un livre a ranger a cote de ceux d'un Bradbury et ses chroniques martiennes, par exemple. 1 planete, 1 homme, 1 singe, 1 dauphin, et 1 arbre.

THYUIG, 03.07.2006 à 14:27258616
C'est la raison pour laquelle je n'ai pas parlé du fond ! :o))

A chacun de se faire son idée. De prime abord, le traitement du "trait de craie" me plait plus, mais plus on avance dans la lecture et plus ce noir et blanc convainct. C'est propre, se lit tout seul, on ne butte pas sur des erreurs de physionomie des personnages (il y en a pourtant une pelleté), bref, la grande classe.

Cobalt 60, 03.07.2006 à 14:22258613
THYUIG :
Je m'attendais à être scotché par cette "encyclopédie des dauphins" et je l'ai été comme de juste. Immense album de SF à la logique implacable pour l'éspèce humaine. Prado dresse un historique de la conquête à laquelle il méle l'évolution naturelle des éspèces. Magnifique de bout en bout. Gros coup de coeur.


Je tempère un peu l'avis ci-dessous/dessus en précisant que le bouquin est un peu désservi par une forme assez austère qui joue contre lui au premier abord : rendu grisâtre et sans contraste, peu de décor, dessin parfois pas très assuré et mou, heureusement, les histoires sont excellentes en effet. (Merci de ne pas me reservir l'argument éculé de la forme au service du fond, please). :-)

THYUIG, 03.07.2006 à 13:03258587
Je m'attendais à être scotché par cette "encyclopédie des dauphins" et je l'ai été comme de juste. Immense album de SF à la logique implacable pour l'éspèce humaine. Prado dresse un historique de la conquête à laquelle il méle l'évolution naturelle des éspèces. Magnifique de bout en bout. Gros coup de coeur.

THYUIG, 28.06.2006 à 21:06258110
Bel effort Pierre !! :o)

Pratt ne serait qu'une référence a posteriori alors, ce qui embrouille d'autant plus la lecture de la seconde édition de "trait de craie".

Pierre, 28.06.2006 à 20:38258105
Je me rends compte que tous ceux qui ont lu Trait de Craie dans la réédition n’ont donc pas eu accès à cette postface. Je l’ai donc retranscrite avec mes mimines rien que pour vous. A ceux qui n’ont pas encore lu l’album, aucune crainte, ce texte n’est pas un spoiler.

A ce point du récit

Le lecteur aura apprécié les divers évènements qui lui ont été soumis et, après avoir lu la dernière image, les aura recomposés d’une certaine manière pour parvenir à une interprétation globale de l’histoire.

Mais tant la connaissance que nous avons des faits que l’analyse que nous en faisons restent presque toujours fragmentaires et prêtent le flanc à la spéculation. C’est ainsi que le même enchaînement de relation peut être explicité de plus d’une manière. Et donc, il n’est nullement exclu que le lecteur soit parvenu à des conclusions identiques à celles de Raul.

Il se peut également que le lecteur ait interprété ce qui s’est passé (ou plus précisément ce qui lui a été narré) d’une façon très différente de Raul, et soit parvenu à des conclusions autres. Il aura peut-être tiqué sur certains détails que d’autres lecteurs moins méticuleux auront considérés comme non-pertinents, pour certains, ou bien encore imputables, pour d’autres, à ma propre négligence ou , en fin de compte, à mon manque de rigueur dans la retranscription de la chose narrée. Ce lecteur, fort probablement, aura alors découvert une histoire d’une toute autre complexité, à coup sûr plus inquiétante, ou plus surprenante. Ou tout bonnement différente, sinon invraisemblable.

A ce premier type de lecteur, nous pourrions certes suggérer une relecture de l’album, moins exhaustive, mais ce serait exiger de lui un effort qu’il ne sera pas disposé à entreprendre. On ne saurait lui en tenir rigueur. Et rien ne permet d’affirmer qu’il ne ressortira pas de cette seconde et improbable lecture conforté dans ses premières conclusions.

A un moment donné de l’échafaudage de ma narration, j’avais l’intention d’inclure deux épilogues (que je ne suis pas parvenu à écrire et incorporer au plan du récit) qui apporteraient des informations chargées de mettre en évidence cette seconde lecture de l’histoire. Ce qui m’y incitait, c’était le soupçon, nourri par moi, que le lecteur de BD n’a pas pour habitude de s’investir profondément dans l’œuvre qui lui est soumise ; il se contente, la plupart du temps de la survoler. Et je craignais de n’avoir pas le talent suffisant pour le forcer depuis le début à triompher de cette inclination.

Je suis donc resté sur cette position, trop incertain de mon habileté pour mener à bien ce petit projet, mais désormais convaincu que l’insertion de ces deux épilogues aurait trahi l’esprit même du livre, même si jamais je n’ai eu l’intention de me plier de façon rigide au modèle imaginé par Borges et Bioy Casarès pour leur hypothétique roman. J’espère, dans tous les cas, n’avoir pas rendu sa lecture fastidieuse.

Pour terminer, ce point sur les « i »

Lorsque
Trait de craie n’était encore qu’à l’état d’ébauche confuse et floue dispersée sur un certain nombre de bouts de papier, deux choses au moins étaient déjà claires pour moi : il y aurait un phare sans lumière et un message écrit sur une paroi ou un mur. Il se trouve que le hasard a mis entre mes mains le livre d’Antonio Tabucchi Femme de Porto Pim et autres histoires (Ed. Bourgois, 1987). Moi qui, à l’instar de Raul, n’avais jamais lu Chateaubriand, j’y ai trouvé la citation que j’ai insérée dans mon livre. Et j’y ai également trouvé le mur idéal où s’inscrivait le message de Raul. Tous mes remerciements, bien sûr, à Antonio Tabucchi, pour ces deux cadeaux royaux.

Miguelanxo Prado
Lubre, novembre 1992

A toutes fins utiles, les deux citations en exergue du premier chapitre:

Tu as vu et vécu les même choses que moi, c’est simplement que tu as interprété les faits de manière différente
S. S. Van Dine

Bioy Casarès avait dîné avec moi ce soir-là et nous nous étions attardés à polémiquer longuement sur la réalisation d’un roman à la première personne, dont le narrateur omettrait ou défigurerait les faits et tomberait dans diverses contradictions qui permettraient à peu de lecteurs –à très peu de lecteurs- de deviner une réalité atroce ou banale.
Jorge Luis Borges, Tlon, Uqbar, Orbis, Tertius, Ed. Gallimard

THYUIG, 28.06.2006 à 19:50258101
Pierre :
Hey mais euh c'est qu'on a pas lu le même album (c: Le mien je l'ai lu dans tous les sens, et dans la postface que j'ai, daté de novembre 1992, il n'est nullement fait référence à Pratt. Par contre il parle de Borges, de Bioy, de Tabucchi et de Chateaubriant. Cette nouvelle édition c'est un peu dommage mais puisqu'elle semble avoir été cautionnée par l'auteur lui-même il faut s'y ranger ...

Bon, au final il n'y a pas de référence explicite à Pratt dans les planches de la bd proprement dite. De toute façon ça ne cadrerait pas trop avec le projet lui-même qui cherche vraisemblablement à éviter toute référence propre à la bd pour se placer plutôt dans les références littéraires et picturales (ce qui expliquerait que ça ait plu à la belle-mère d'everland ?).

Sinon Thyuig je veux bien la suite de cette postface (c:


C'est pas clair cette histoire. D'un côté ton édition de 92 sans le supplément de 94 (hommage à Pratt dans Pilote) et de l'autre l'édition Casterman que je possède dans laquelle Prado ne revient pas sur la genèse à proprement dite de l'album. J'ai la flemme de tout retranscrir mais dans les grandes lignes, je comprends juste que cet album pouvait rentrer dans les critères d'un hommage à Pratt. Qu'il ait été conçut en passant à Corto, nulle mention nulle part.
Bref, on tourne en rond... :o)

Pierre, 28.06.2006 à 18:52258095
Hey mais euh c'est qu'on a pas lu le même album (c: Le mien je l'ai lu dans tous les sens, et dans la postface que j'ai, daté de novembre 1992, il n'est nullement fait référence à Pratt. Par contre il parle de Borges, de Bioy, de Tabucchi et de Chateaubriant. Cette nouvelle édition c'est un peu dommage mais puisqu'elle semble avoir été cautionnée par l'auteur lui-même il faut s'y ranger ...

Bon, au final il n'y a pas de référence explicite à Pratt dans les planches de la bd proprement dite. De toute façon ça ne cadrerait pas trop avec le projet lui-même qui cherche vraisemblablement à éviter toute référence propre à la bd pour se placer plutôt dans les références littéraires et picturales (ce qui expliquerait que ça ait plu à la belle-mère d'everland ?).

Sinon Thyhuig je veux bien la suite de cette postface (c:

THYUIG, 28.06.2006 à 14:54258053
Pierre :
Il n'y a pas de référence à Pratt. La réédition a intégré malheureusement en fin d'album façon bonus de DVD un hommage à Corto Maltese paru dans feu (A SUIVRE) ce qui dénature la beauté de la version originale je trouve. Sinon cet album c'est chef d'oeuvre chef d'oeuvre. Mais je comprends aussi qu'on puisse être hermétique à ce type d'ouvrage.


Il ya une référence à Pratt comme l'explique Prado en postface :

"J'ai songé que cette rousse prénomée Sara, que je connaissais également, cadrerait admirablement avec les amitiés d'un Corto dans son rapport avec les femmes. Un île où il évoquerait ses souvenirs, échangerait des anecdotes avec les voyageurs de passage qui accosteraient à la longue jetée ...."

Il explique mal si cette référence est antérieure à l'élaboration de "traie de craie" mais ce qui est certain, c'est que c'est justement ce complément qui m'a gêné dans ma lecture. Sous l'éclairage de Corto cet album perd de son charme, c'est une autre histoire. Voilà comment je le ressens.

Thierry, 28.06.2006 à 13:52258040
Pierre :
Il n'y a pas de référence à Pratt. La réédition a intégré malheureusement en fin d'album façon bonus de DVD un hommage à Corto Maltese paru dans feu (A SUIVRE) ce qui dénature la beauté de la version originale je trouve. Sinon cet album c'est chef d'oeuvre chef d'oeuvre. Mais je comprends aussi qu'on puisse être hermétique à ce type d'ouvrage.


sont-ce les planches qui sont parues dans le dernier (A Suivre ) ?
je ne me rappelle pas d'un hommage a Pratt. Je ne m'en rappelle pas du tout a vrai dire, preuve qu'elles sont superflues.

lanjingling, 28.06.2006 à 13:34258038
Cobalt 60 :
Moi, j'ai adoré "Trait de craie". J'ai eu l'impression de lire du Borges. Par contre, j'ignorais qu'il y avait une référence à Pratt. Comme je n'aime pas Pratt, c'est un peu normal aussi.
pareil-sauf que j'aime pratt.

Pierre, 28.06.2006 à 12:45258021
Il n'y a pas de référence à Pratt. La réédition a intégré malheureusement en fin d'album façon bonus de DVD un hommage à Corto Maltese paru dans feu (A SUIVRE) ce qui dénature la beauté de la version originale je trouve. Sinon cet album c'est chef d'oeuvre chef d'oeuvre. Mais je comprends aussi qu'on puisse être hermétique à ce type d'ouvrage.

Cobalt 60, 28.06.2006 à 12:40258020
Moi, j'ai adoré "Trait de craie". J'ai eu l'impression de lire du Borges. Par contre, j'ignorais qu'il y avait une référence à Pratt. Comme je n'aime pas Pratt, c'est un peu normal aussi.

THYUIG, 28.06.2006 à 11:40258006
everland :
J'ai aussi lu "Trait de craie" que je n'ai pas trouvé indispensable.


Même avis, lecture agréable mais qui ne m'a pas enthousiasmé plus que ça.
Je l'ai lu sans connaître la référence à Pratt, je l'ai découverte après coup dans les dernières pages, et finalement, l'album s'en passerait bien, ça plombe l'ensemble inutilement.

Cobalt 60, 28.06.2006 à 11:38258005
"Stratos" est bien annoncé sur les pages de garde de "L'encyclo. des Dauphins" chez le même éditeur.
Et "Venin de femmes" est une autre merveille de Prado, en effet.

daiboken, 28.06.2006 à 11:29257999
yan :
(car Stratos va suivre n'est-ce pas?)


Ca serait bien, en effet...

chrisB, 28.06.2006 à 11:25257994
hippolyte :
Et "Venins de femmes" est effectivement une des plus belles bd jamais réalisée.


Album lu hier, je rejoins hippolyte dans son appréciation, superbe plongée au coeur des relations hommes-femmes. 4 amants dans le placard (pas dans la bullebase)

Pierre, 27.06.2006 à 18:52257908
Manuel Montano c'est un peu moins bien mais il y a plein de nanas canons dedans.

Cobalt 60, 26.06.2006 à 10:34257648
En revanche, rien ne semble prévu pour Manuel Montano. Dommage.

yan, 26.06.2006 à 10:03257639
J'ai les pas très belles versions publiées naguère par les Humanos de L'encyclopédie des dauphins et de Stratos. Mais l'intérieur (le travail de Prado) est vraiment bien, c'est une excellente nouvelle que ces deux livres soient à nouveau dans les librairie (car Stratos va suivre n'est-ce pas?)

hippolyte, 26.06.2006 à 9:57257638
Prado est vraiment un maître (pour moi en tous cas).
Il a une facilité assez déconcertante de passer d'un sujet à un autre, d'un style à un autre, en optant toujours pour la forme la plus juste et la plus surprenante.
Et "Venins de femmes" est effectivement une des plus belles bd jamais réalisée.
Espérons maintenant qu'il délaisse un peu son travail d'animateur pour nous repondre des petits chefs d'oeuvre et frapper encore là où ne l'attend pas.

everland, 26.06.2006 à 9:25257631
Je viens juste de me l'acheter. Je vous dirais quoi.

J'ai aussi lu "Trait de craie" que je n'ai pas trouvé indispensable. Mais je reconnais que je ne suis pas bien entré dans la narration. Je l'ai offert à ma belle-mère qui a adoré (je ne sais pas si c'est un bon argument de vente).

Et sinon son "Pierre en le loup" est magnifique.

Pierre, 25.06.2006 à 22:39257604
daiboken :
>> Bon y a quand même Prado qui est incontournable à mon avis, et qui en plus est à la fois hyper accessible aun niveau du dessin et très pointu dans ce qu'il évoque("Venin de femmes", véritable petit bijou..).
>> Voilà, il méritait d'être ajouté ...

Il serait d'ailleurs peut-être temps de rééditer le formidable "Demain les dauphins", un modèle de bd sf intelligente.


Le voeu de Daiboken est enfin réalisé.

Signalé par le bon Cobalt60, accueillie dans un assourdissant silence général, la réédition de "Demain les dauphins" ...







...paraît chez Mosquito sous son titre original à savoir "Fragments de l'encyclopédie des dauphins".



C'est l'occasion d'ouvrir une discussion sur ce grand artiste galicien, auteur de Stratos, des Chroniques absurdes, de Trait de Craie, de Venin de femmes ...

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