Ce tome nous propose tout d’abord une partie bien médiocre avec les sorcières. Passé ce passage, on retrouve tout le charme de GTO. On pourra se marrer grâce aux tracas de Fuyutski avec Onizuka comme sauveur, les péripéties de Murai et le petit secret de Sakurai (le prof d’anglais). Ce tome manque toutefois un peu de consistance en particulier avec les aventures amoureuses de Murai. On sent à la fin du tome le préambule d’une nouvelle intrigue, on s’en régale d’avance.
Fujisawa apporte intrigue et humour à un manga hors du commun. Comme pour le précédent tome, l’auteur a fait du très bon comme du moyen. Certaines scènes traînent en longueur tandis que d’autres sont fantastiques, les dessins sont toujours splendides. Je me demande toujours comment Fujisawara sait faire du réaliste (Julia, Fuyutski,…) et de la « caricature » (Fukada, Ruruka mangeant des gateaux,…).